Ah ouais la vache. Mépris du droit à l'image, quand tu nous tiens.
Perso, j'aurai porté plainte et j'aurai fait le pied de grue devant la pompe funèbre en faisant peur aux gens.
Enfin, pas trop peur quand même, paraît qu'on peut aller en taule pour ça (par contre, pour le non-respect du droit à l'image, vous ne risquez même pas la garde à vue, pas de soucis).
(via sebsauvage)
Aller hop ! Encore une traître raclure de putain de sociale-démocrate de merde !
La liste des têtes à couper s'allonge...
Bon. Le ministère de la justice reconnait donc officiellement que la loi s'applique sur Internet, et que ce réseau n'est PAS une "zone de non-droit".
Du coup, on peut arrêter toutes ces lois débiles et liberticides pour "civiliser" Internet, c'est bon, ça va ? Vous allez nous lâcher le cul avec vos conneries ?
Vous êtes plus d'une dizaine à avoir publié ce message en peu de temps sur vos murs. Partager ce lien aurait été plus efficace face à l'intox que représente le message que vous propagez. Mais rien n'est irréversible, alors prenons le temps si vous le voulez bien.
Publier ce texte sur vos murs ne changera EN RIEN à la manière dont vos informations seront utilisées. Ces informations sont régies par les conditions que vous acceptez lorsque vous vous inscrivez à Facebook. Si vous ne les avez pas lues, c'est votre problème et la publication d'un tel texte ne changera rien. Si vous n'êtes pas satisfaits des conditions d'utilisation, cessez d'utiliser le service.
Ensuite, comme précisé dans les conditions d'utilisation que vous avez accepté après les avoir lues bien entendu, les modifications des conditions font l'objet d'une publication sur leur page officielle. À vous de vous tenir un peu au courant.
Enfin, pensez-vous vraiment que la publication d'un tel message dans vos status en plus d'être sans aucune valeur juridique ne sera en plus jamais lues par les personnes que vous visez ? Croyez vous réellement qu'ils vont rechercher un tel message avant de se dire "bon, je vais utiliser les informations disponibles" ?
Combien d'entre vous utilise des moyens pour tracker les entreprises qui revendent vos informations ? ("spamgourmet", par exemple, pour ne citer que le premier exemple qui me passe par la tête) (mais je ferais un article sur toutes ces petites astuces pour protéger ses données privées)
Pour terminer, rappelez vous d'une chose : si vous ne voulez pas qu'une photo se retrouve n'importe où sur le net, ne l'y mettez tout simplement pas.
Puisque tout le monde est Anonymous, ça comprend aussi sa part d'abrutis.
S'ils se sont trompés, la vie d'un innocent va être ruinée.
Et même s'ils ne se sont pas trompés, c'est contraire au plus élémentaire droit à la justice : le droit de se défendre devant un jury. PERSONNE n'a le droit de faire "justice" soi-même, et on ne livre personne sur la place publique mais à la police.
Si vous n'êtes pas convaincus, lisez des ouvrages à propos de l'Affaire de Hautefaye.
Une enquête peut être menée de manière individuelle ou collective, dans le respect de la loi, mais les conclusions doivent être données aux autorités.
Souffrance au travail à l'université d'Orléans. Même dans le public, dont les méthodes de management sont désormais celles du privé, la souffrance au travail est une réalité parfois dramatiquement fatale.
L'inverse du piratage, c'est le copyfraud, c'est tout aussi répandu que le piratage mais... ce n'est pas puni.
Il s'agit d'une privatisation du domaine publique. Et ce n'est pas tolérable.
Alors, sinon, au Québec, c'est les élections en ce moment. C'est quand même plus important que la rentrée...
"L'iPhone, le smartphone le plus sécurisé" MOUAHAHAHAHA !
La question dont on n'a pas la réponse : est-ce que ça a été fait avec ou sans l'aide d'Apple ?
Dans tous les cas, pensez vous vraiment qu'un format propriétaire, opaque et complètement fermé protège mieux votre vie privée ? VRAIMENT ? VRAIMENT ?!!
Échanges de mails entre un photographe et un auteur de bouquin, à propos du "droit d'auteur".
Le billet que j'aurai aimé écrire à propos de la "régulation du net". À diffuser...
Oh putain... Les femmes bannies des universités en Iran...
Ô_Ô
Si elle est votée, cette loi pourra permettre à un violeur d'empêcher sa victime d'avorter.
"the life of each human being begins with fertilization [...], irrespective of sex, health, function or disability, defect, stage of biological development, or condition of dependency, at which time every human being shall have all the legal and constitutional attributes and privileges of personhood"
En clair, sous aucune condition l'avortement ne saurait être toléré, pas même pour la santé de la mère et donc, encore moins, en raison d'un viol.
"En réponse à notre question « à quand l’abrogation du délit de racolage, que votre parti nous promet depuis des mois [...]», il nous fut confirmé que ce n’était plus vraiment à l’ordre du jour, ou en tout cas pas avant qu’une nouvelle loi soit votée (« pour supprimer une loi, il faut d’abord en faire une autre »)"
Alors qu'il suffit que le garde des sceaux dise "on ne poursuit plus pour racolage" et que le ministre de l'intérieur dise "on n'arrête plus pour racolage". Les socialistes se foutent vraiment de la gueule du monde.
"Alors que nous avions tout de même un léger espoir que le discours de Mme Vallaud-Belkacem soit le fruit d’une ignorance de son dossier et de nos arguments, arguments notamment corroborés par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), le Conseil national du SIDA (CNS), la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), elle nous a pourtant dit bien connaître ces différents rapports recommandant la décriminalisation du travail sexuel : c’est donc en toute connaissance de cause que Madame la Ministre prône une idéologie meurtrière."
Tous les rapports impartiaux, nationaux comme internationaux, démontrent que la voie que veut suivre la France est DANGEREUSE, notamment en matière de VIH, mais non, le gouvernement continue...
Je confirme que je n'ai pas voté POUR Hollande mais CONTRE l'autre.
(et aux législatives PS-UMP au 2nd tour de ma circo, j'ai voté blanc, je tiens à le souligner)
Bande d'abrutis.
"Nous ne voulons pas nous faire abolir. Nous voulons des Droits. [...] Travailler avec Manuel Valls et envoyer les flics, ce n’est pas du féminisme."
En même temps, la ministre suit la même ligne que les "féministes" d'OLF et compagnie. Lorsqu'on voit comment ils traitent ceux qui ne sont pas d'accord, on se demande si il ressortira quoi que ce soit de bon de ce "ministère des Droits des Femmes"...
Bon. Je suis sceptique (c'est le premier article que je lis sur le sujet) donc si quelqu'un pouvait confirmer.
Je sais que la charge virale est le facteur déterminant pour une infection. La question est : quel est le seuil d'indectabilité ? Ce seuil est-il éloigné du seuil d'infection ? Si oui, de combien ? Enfin, si différence il y a, celle-ci permet-elle de déclarer ce risque "risque acceptable" ? La question des partenaires occasionnels est toute vue : "coup d'un soir, capote à prévoir !", comme pour tout le monde.
Ensuite, si ce message est passé (par qui ? comment ?) et qu'un cas d'infection survient (et il surviendra, certainement par des personnes non-traitées qui se feront passées pour traitées), quel sera l'impact ?
Certes, il faut sortir de ces dizaines d'années de discours de peur, ne serait-ce que pour relâcher toute cette pression assez ignoble sur les séropositifs (l'idée qu'ils l'ont "fait exprès" est encore très largement répandue). Mais ça sera très délicat.
Du moins, si il s'avère vrai qu'un séropositif traité ne transmet pas le VIH (études ? preuves ? etc.). Je suis ouvert à toute information sur le sujet.
Argument numéro 1 (et imparable) contre le vote républicain via Internet : le conjoint qui vote à la place de l'autre.
Seul le déplacement dans un bureau de vote contrôlé par les assesseurs et les citoyens permet la démocratie.