L'ONU réclame la dépénalisation du travail sexuel afin d'inverser la courbe de contamination par le VIH.
Après le HCDH (Haut Commissariat aux Droits Humains) qui dit que c'est une atteinte aux Droits Humains, le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) il y a déjà quelques années et encore aujourd'hui affirme que la pénalisation du travail sexuel est facteur d'augmentation des contaminations au VIH.
Tous les travaux indépendant sur le "modèle" suédois en matière de prostitution montrent que ces mesures n'ont AUCUN effet sur la réduction du nombre de prostituéEs. Par contre c'est une atteinte aux Droits Humains et c'est exposer ces personnes au VIH (ce qui revient à les tuer, hein, au passage).
Allô OLF ? Allô la ministre des "droits des femmes" ? Allô il y a quelqu'un qui comprend le français, l'anglais ou même le yiddish, j'm'en fous, bref, QUAND EST-CE QUE VOUS ALLEZ COMPRENDRE QUE VOUS TUEZ DES GENS PAR VOS ACTIONS ? QUAND ?!!
Si c'est comme la prise de position de l'ONU contre l'embargo sur Cuba, on n'est pas sortis du sable.... -_-'
Bande de cons. Meurtriers.
C'est tellement plus lucratif de donner des pilules à vie (en préventif qui plus est) que de trouver un vaccin ou un remède...
Et genre ils croient que ça va pas inciter à avoir des conduites à risque ?
Je suis très très réticent à cette méthode.
Bon. Je suis sceptique (c'est le premier article que je lis sur le sujet) donc si quelqu'un pouvait confirmer.
Je sais que la charge virale est le facteur déterminant pour une infection. La question est : quel est le seuil d'indectabilité ? Ce seuil est-il éloigné du seuil d'infection ? Si oui, de combien ? Enfin, si différence il y a, celle-ci permet-elle de déclarer ce risque "risque acceptable" ? La question des partenaires occasionnels est toute vue : "coup d'un soir, capote à prévoir !", comme pour tout le monde.
Ensuite, si ce message est passé (par qui ? comment ?) et qu'un cas d'infection survient (et il surviendra, certainement par des personnes non-traitées qui se feront passées pour traitées), quel sera l'impact ?
Certes, il faut sortir de ces dizaines d'années de discours de peur, ne serait-ce que pour relâcher toute cette pression assez ignoble sur les séropositifs (l'idée qu'ils l'ont "fait exprès" est encore très largement répandue). Mais ça sera très délicat.
Du moins, si il s'avère vrai qu'un séropositif traité ne transmet pas le VIH (études ? preuves ? etc.). Je suis ouvert à toute information sur le sujet.