Bon. Je suis sceptique (c'est le premier article que je lis sur le sujet) donc si quelqu'un pouvait confirmer.
Je sais que la charge virale est le facteur déterminant pour une infection. La question est : quel est le seuil d'indectabilité ? Ce seuil est-il éloigné du seuil d'infection ? Si oui, de combien ? Enfin, si différence il y a, celle-ci permet-elle de déclarer ce risque "risque acceptable" ? La question des partenaires occasionnels est toute vue : "coup d'un soir, capote à prévoir !", comme pour tout le monde.
Ensuite, si ce message est passé (par qui ? comment ?) et qu'un cas d'infection survient (et il surviendra, certainement par des personnes non-traitées qui se feront passées pour traitées), quel sera l'impact ?
Certes, il faut sortir de ces dizaines d'années de discours de peur, ne serait-ce que pour relâcher toute cette pression assez ignoble sur les séropositifs (l'idée qu'ils l'ont "fait exprès" est encore très largement répandue). Mais ça sera très délicat.
Du moins, si il s'avère vrai qu'un séropositif traité ne transmet pas le VIH (études ? preuves ? etc.). Je suis ouvert à toute information sur le sujet.