CET ÉPISODE !
https://www.youtube.com/watch?v=Dkc0RZ8Ym1Y
"Sometimes you have to roll the hard six".
Sinon, c'est bien ça ; au craps, un "hard six" est le fait de lancer deux dés faisant 6 en 3+3. Il y a plusieurs hard ways (2, 3, 4 et 5), et ce n'est pas un hasard si Adama choisit cette combinaison qui rappelle celle d'avoir "quelqu'un à six heures", c'est à dire juste derrière soi en chasse. Le fait de rouler correspond en effet alors à la manœuvre consistant à se placer aux six heures du chasseur.
Il n'y a pas de manière de traduire ça en français en rendant compte de ces 2 points. Au craps en France, il n'y a d'ailleurs pas de traduction de "hard 6". C'est d'ailleurs un jeu très peu répandu de ce côté de l'Atlantique (mais marrant, si vous voulez essayer). Il n'est pas possible de traduire en français toute la subtilité et la profondeur de cette expression.
"Il aurait fallu tout nettoyer à grande eau, pour qu'il n'y ait plus de trace du produit."
"T'es pas fou ? Ça aurait démultiplié sa puissance, il y aurait eu des morts !"
(de J.)
Une très bonne contribution de Zep.
Saleté de pétain de frontières.
C'est enfin mon tour \o/
Soyez sages pendant que je suis pas là hein !
Et pour les personnes qui seront cette année à la fête de l'Huma, on se retrouve là bas ! (me contacter pour plus de détails ^^)
C'est dommage qu'on n'apprenne pas ça à l'école dis donc...
O:)
:D
Bon, par contre, si vous n'avez pas acheté votre billet au bon endroit, vous serez banni du parc.
Et certaines attractions seront indisponibles si elles sont trop demandées, et vous devrez toujours être connecté en 4G pour pouvoir bénéficier du parc. Vous devrez être connecté à Uplay en permanence, ou vous serez expulsé du parc.
La finition de certaines attractions laissera à désirer, et il ne sera pas rare qu'un wagon passe à travers le décor.
En raison d'un bug, les personnes ayant accédé en avant-première au parc en seront par la suite bannis.
Si vous êtes expulsé trop de fois pour avoir perdu votre connexion alors que vous étiez sur une attraction, vous serez banni du parc.
BIENVENUE CHEZ UBISOFT !
(via M.)
J'avais vu passer ce genre d'idioties il y a quelques temps.
Un petit démontage en règle de la "chromothérapie".
(via sebsauvage)
Égalité des droits !
Liberté de circuler !
(via Gogo)
24 000 personnes, c'est 1 semaine et demi de naissances en France.
C'est même pas 2 mois de croissance démographique.
Point.
Il y a 2,6 millions de logements VIDES en France. De quoi loger les 130000+ SDF sur le territoire ainsi que plus de 2,6 millions de personnes (réfugiées ou autres, genre les 2,9 millions de mal logés) d'une manière extrêmement confortable, avec un logement par personne, ce qui est vraiment du luxe. On produit assez sur le territoire pour nourrir plus de 70+ millions de personnes sans problème. Nous sommes 66 millions.
Voilà de quoi on parle. Voilà sur quoi tous les xénophobes et les "pourfendeurs du politiquement correct" nous prennent la tête. Chacun y allant de sa petite condition moisie, de sa petite justification rance, de sa petite défense de ces pétains de frontières de merde.
Ça aurait été les chrétiens d'Orient, personne ne se serait posé ce genre de questions.
Sources :
INSEE :
(via Sammy)
Toute relation avec des personnes ou événements passés, présents ou futurs n'est pas fortuite du tout.
(via Jeanne)
Collectivisation des moyens de production, 10 heures par semaine de travail, pour tout le monde. Le reste bah... travail libre, puisque les richesses sont équitablement distribuées ;)
On n'a pas besoin des emplois.
J'ai vu passer sur la shaarli.fr plusieurs liens concernant le retour aux 39 heures. Dont un certain N. Enmoins (ou plutôt "haine en plus", c'est pour moi, c'est cadeau) que ça ne dérangerait absolument pas, illustrant à la fois la nocivité de l'égoïsme par rapport au bien commun, l'irrecevabilité de l'exemple personnel face à une analyse méthodique ainsi que pourquoi l'Humanité a survécu en utilisant sa capacité de réflexion plutôt que toujours sa force brute. Joli combo :)
Pour les personnes ayant peur de prendre du gras si elles réfléchissent trop fort, vous pouvez arrêter votre lecture ici, même si je trouve ça dommage et à côté de la plaque. Pour les autres, je livre ici un élément de réflexion, que je soumets comme toujours à votre esprit vif et critique.
Il est de bon ton de penser que les dirigeants et patrons sont à côté de la plaque, en dehors des réalités, qu'ils ne comprennent rien et qu'il prennent des décisions à la con. En effet, comment peut-on penser que revenir aux 39 heures permettra de réduire le chômage, alors qu'il n'y a déjà pas assez de travail pour tout le monde ? C'est absurde ! C'est tout le contraire.
Pour en prendre conscience, il faut réussir à voir ce qu'il se passe depuis environ 20-30 ans (pour cela, on peut prendre comme origine de l'analyse l'explosion du bloc soviétique). Cette tendance s'amplifie largement depuis 5 ans. Qui, il y a encore 10 ans, aurait cru qu'il y aurait en Europe une baisse nominale des salaires ? En dehors des marxistes, évidemment.
Ce qu'il se passe porte un nom : la guerre des salaires. Pour les personnes en désirant les détails, elles peuvent se reporter à l'ouvrage "Salaire, prix et profit" de Karl Marx, qui établit le rapport entre le salaire, le prix et le taux de profit. En très gros, on y apprend que Prix - Salaire - Coût du capital constant = Profit. Le "capital constant" étant ce qui est nécessaire à la production : machines, locaux, etc. Le capitaliste (possesseur des moyens de production) n'a que très peu de marge de manœuvre sur le capital constant (c'est pour cela qu'il joue au niveau des taxes et impôts, pour en payer le moins possible sur ce capital constant, ce qui est sa seule marge de manœuvre et, lorsqu'il le peut, il déménage là où ça lui coûte moins cher). Il faut garder à l'esprit qu'un capitaliste veut toujours AUGMENTER son taux de profit, la stagnation n'est pas envisageable (c'est la fameuse recherche frénétique de croissance, d'où l'omerta sur les "décroissants"). Il y a des raisons à cela, mais c'est hors sujet. Il n'y a qu'à se rappeler qu'un capitaliste n'augmentant pas son taux de profit (ou, pire, dont le taux de profit BAISSE) se fait rapidement bouffer par un autre.
De cette simple équation (wink wink) on en déduit que pour augmenter son taux de profit, le capitaliste bénéficie de deux principaux leviers : augmenter le prix et baisser les salaires. Or, que se passe-t-il en temps de crise ?
Exactement, augmenter le prix n'est pas acceptable. La seule issue est donc de baisser les salaires.
Comment procéder ?
Il est hors de question de procéder directement à une baisse nominale, ça serait la levée de boucliers. Mais la "crise" (qui n'est une crise que pour nous hein, pour les capitalistes, le taux de profit augmente toujours, je le rappelle) fournit une excellente occasion : le chômage. Le chômage (structurel et de masse, bref) explosant, le capitaliste bénéficie d'une réserve de main d'œuvre prête à sacrifier son salaire pour avoir un emploi (attendu qu'on lui bourre le mou avec ça à longueur de journée, c'est la seule véritable mission de Pôle Emploi).
Donc, réduction des salaires par la demande d'emploi.
Bien évidement, ce n'est très vite pas assez. Car les gens ne sont pas cons, ils ne travaillent pas à perte. Pas tout de suite. Comment donc faire baisser le salaire, sans levée de boucliers ?
L'augmentation du temps de travail bien sûr !
Pour le même salaire, travaillez 4 heures de plus par semaine ! Donc plus de production, mais sans avoir à embaucher, augmentant ainsi la production tout en accentuant la pression sur les salaires par le maintien au chômage d'un plus grand nombre. Les salariés n'ont pas l'impression de travailler à perte (après tout, ils gardent leurs salaires non ?) mais c'est tout bénéf (encore) dans les poches des capitalistes.
La suite, vous la connaissez, puisque à moins d'avoir un salaire à 0, le capitaliste cherchera toujours à baisser cette variable de l'équation. Lorsque le taux de chômage est assez haut, la population est prête pour accepter la baisse nominale des salaires, sans modification du prix, bien évidemment. Amplifiant ainsi la catastrophe économique pour la population.
Voilà pourquoi les propos de "moi ça ne me gêne pas de revenir aux 39 heures" doivent gêner n'importe qui qui se soucie du bien commun.
Ceux qui ont des positions de pouvoir et qui vous semblent dire des absurdités sont très loin d'être des abrutis. Leur but est différent du votre, et vous auriez tort de les sous-estimer. Parce que c'est comme ça qu'ils gagnent. Parce que vous pensez que, individuellement, vous tirerez votre épingle du jeu et qu'ils sont en dehors des réalités. Votre réalité, c'est eux qui la font, et le jeu duquel vous pensez pouvoir tirer votre épingle, c'est le leur, avec leurs règles.
Il paraît que c'est à ça qu'on les reconnaît...
Le travail gratuit, voilà ce qu'ils veulent je vous dis.
Et voilà ce qu'on leur donne. Merde.
C'est justement parce que le langage est un moyen de véhiculer une idée qu'il a une construction précise, qui lui donne un sens différent.
La forme passive "un cycliste tué par une voiture" impose que le cycliste soit donc décrit comme passif. Dans la phrase "une voiture tue un cycliste", il ne l'est plus. C'est là la première grande erreur dans ton propos.
La deuxième, c'est de considérer les mathématiques comme moyen de transmettre une information factuelle. Cette idée est directement issue de la pensée technocratique qui prétend que la science est indépendante de toute considération éthique, politique ou sociale, donc de tout contexte. Supposant donc qu'une information peut être sortie de son contexte tout en conservant l'intégralité de son pouvoir informatif, tout en conservant son essence. Or, le contexte EST une information (il est même primordial, voire même plus important que le contenu lui-même). Représenter sous forme de formule mathématique simple une situation complexe (ce n'est pas toi qui dira le contraire étant donné le développement de ton propos), c'est perdre de l'information. Et lorsqu'on cherche à représenter la complexité d'une information sous forme de formule la plus simple, on retombe sur.... le langage. Si c'est pas merveilleux ?
Donc le langage (écrit ou parlé) est le moyen le plus simple de véhiculer une idée qui ne peut être formalisée de manière satisfaisante sous forme mathématique, d'autant plus lorsque les personnes impliquées dans cette transmission ne sont pas à même de comprendre des équations complexes (et, même dans ce cas, il est plus simple d'utiliser le langage : ce n'est pas parce que vous saurez représenter l'accident sous forme d'une formule mathématique complexe que quelqu'un qui est capable de la comprendre la comprendra plus rapidement que sous une autre forme).
Et c'est là qu'intervient la linguistique, domaine passionnant s'il en est. Il est une règle simple et pourtant fondamentale : le verbe précède la pensée. Nous concevons une situation à partir des mots que nous connaissons et utilisons. Le cerveau humain fonctionne ainsi. S'il ne fonctionnait pas ainsi, nous n'aurions jamais de moment où nous n'aurions pas de mots pour décrire une situation. Car, confronté à une telle situation, nous créerions un mot ("shmlurtz" par exemple) et on continuerait d'avancer. La langue anglaise en est une parfaite illustration : pour une situation ou un élément nouveau, quelqu'un qui parle anglais aura tendance à partir d'un mot déjà existant et à lui accoler un préfixe, un suffixe, ou un autre mot afin d'en modifier le sens. En français aussi, nous utilisons le même procédé, mais il est moins évident à mettre en lumière.
Cette manipulation par les mots est la plus sournoise et la plus efficace qui soit. Car ôter un mot, c'est ôter une idée. Rajouter un mot, c'est rajouter sa conception. Ce n'est pas pour rien que tous les gouvernants et tous les manipulateurs calculent précisément leurs propos (les fameux "éléments de langage"). Les mots ont un sens, ils ont un poids, ils sont une arme, en bref, ils sont importants.
Allez, retourne manger mon enfant.
J'avoue que la ténacité et le travail d'Élise Lucet sont assez admirables. Si seulement il y en avait plus comme elle...
Je suis assez étonné qu'elle ait toujours sa place sur le service public d'ailleurs, où à la télévision en général. D'habitude, ce genre de "gêne" est assez vite renvoyé.
Trop grande popularité de l'émission ? Pas encore gratté là où ça gêne vraiment ? Émission "faire-valoir" pour pouvoir dire que "si, il y a de l'investigation, regardez !" ?
"Il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir."
Mais quelle ordure. Sur RTL hein.
Mais non, c'est pas du racisme, non non. C'est heu... bah de la Charliberté d'expression ! Voyons !
Ou de l'humour.
Ou "les questions que tous les français se posent".
Ou tout autre prétexte pour répandre cette façon de penser nauséabonde.
(j'ai piqué "Charliberté d'expression" à Scar, ça résume tellement bien)