Intéressant.

Ça rejoint un peu l'expérience que j'ai faite ici : tout d'abord, sous mon nom complet, puis sous pseudonymat : un pseudonymat pas difficile à lever, bien évidemment, mais ça reste important et ça souligne d'une part le respect que peuvent avoir certaines personnes qui me citent et d'autre part la difficulté de la maitrise de son identité.

J'avais déjà eu un aperçu de la difficulté de faire respecter son nom : mon prénom s'écrit sans accent. Curieusement, les personnes respectueuses n'ont aucun mal à adopter cette écriture, alors que l'accent ressurgit régulièrement chez les détracteurs, parfois de manière très appuyée, presque hissé comme une insulte (si seulement ils savaient, les cons...).

Peut-être qu'un jour j'expliquerai pourquoi j'y tiens tant... ^^

"Spoilers..." ‑ R.S.

MERCI ! BIM !

Au final, je vais citer la même chose que jeekajoo :

"J’en ai ma claque de ces entrepreneurs qui râlent contre les impôts, les taxes et les cotisations comme si la collectivité n’avait que pour seul but de leur prendre les fruits de leur labeur.

Ils oublient un peu vite que s’ils étaient en Somalie ils n’auraient certainement pas entrepris. S’ils en ont été capable c’est que eux, leurs employés et leurs clients ont l’éducation, l’infrastructure, l’environnement et les aides qui vont bien pour ça, et que tout ça est justement payé avec les impôts. Le pire c’est que la plupart d’entre eux n’en payent justement pas ou peu des impôts. Ne parlons même pas de ceux qui râlent contre les cotisations sociales et qui s’en font exonérer la majorité à l’aide des JEI, CIR et autres CII, ou qui se font subventionner et accompagner directement par la BPI ou d’autres dispositifs

Entrepreneurs, redescendez sur terre : si jamais vous réussissez, ça sera grâce aux impôts ; si vous avez été capables d’entreprendre, c’est aussi grâce aux impôts."

(via jeekajoo donc)

Je peux tellement pas pifrer Apathie... Quelle raclure... Ce mec dégouline de mépris de classe ("vous pensez avoir enfoncé un coin ?", "combien ils sont devant le studio [...] oh mais c'est énorme !", "si on ne vous avait pas invité, vous ne seriez pas là", etc.).

Des claques dans la gueule, c'est le seul salaire que méritent ces chiens.

Oh bah oui, quelle violence intolérable hein !

Des personnes quittent tout ce qu'elles ont, pas de gré hein, arrivent à se refaire un semblant de vie, précaire, mais à l'abri des bombes, et on s'étonne qu'elles soient pas jouasses qu'on vienne leur prendre, par la force, le peu qu'elles ont encore ?

C'est quoi votre monde où ce genre de réaction ne serait pas normal, sans déconner ? Vous êtes à ce point dociles que vous êtes prêts à accepter d'être entièrement dépouillés et déshumanisés sans broncher ? C'est ça, l'image que vous vous faites de l'Humanité ?

Je me demande combien de personnes pensent que les réfugiés (de Calais ou autre d'ailleurs) méritent ce traitement et pensent "qu'on vaut mieux que ça" tiens. Et dans le lot, combien sont "Charlie" ?

En fait, Christine Boutin est peut-être le meilleur argument contre le virilisme...

(via David)

Je pose ça là.

Je pose ça là.

(via Tommy)

Un point de vue intéressant d'Usul :)

(via Riff)

C'est ça !

D'ailleurs, Liberté, Égalité, Fraternité, moi j'y crois à fond (no joke). Tellement qu'on me qualifie d'intégriste. Enfin, "droitdelhommiste", mais dans leur bouche, ça sonne pareil.

Et pareil que pour les religions : quand on lit les textes, bon, il y a des passages qui sont pas jouasses, mais globalement ça se tient, il y a une sorte d'équilibre. Bien évidemment, ça peut être amélioré, voire totalement changé en ne gardant que les morceaux qui plaisent, et reconstruire un truc par dessus, qui nous convient mieux, tout ça.

Et puis, ces textes, entre les mains d'un clergé, ça devient le bordel, l'oppression, la soif du pouvoir, le meurtre plus ou moins organisé. On ne retrouve plus du tout l'essence du texte d'origine, et le livre entier, censé être amour et vivre ensemble, devient matraque, prison, meurtre par les agents du système.

Décidément, tout pareil.