Et même pire que ça : si les secours ont besoin d'accéder audit garage ?
Les voix carrossables ne sont pas qu'empruntées par les propriétaires se trouvant en face.
Je suis quand même sceptique sur les prix pratiqués par la FI pour son Université d'été. Les prix sont fonctions du revenu mensuel, très bien. Mais quand même...
Moins de 500€ de revenus : 15€ (soit plus de 3% du revenu, pour des gens qui n'ont déjà rien, et qui sont à l'euro près, ça fait très cher)
De 500 à 1000€ : 25€ (donc entre 2,5 et 5% du revenu)
De 1000 à 1500€ : 40€ (entre 2,6 et 4%)
De 1500 à 2000€ : 55€ (entre 2,75 et 3,7%)
De 2000 à 2500€ : 70€ (entre 2,8 et 3,5%)
De 2500 à 3000€ : 85€ (entre 2,8 et 3,4%)
Et ce sans compter le buffet du Samedi soir (rajouter entre 5 et 20€ selon vos revenus ; pour le même buffet donc).
Ça peut sembler proportionné comme prix (après tout, on tourne autour du même rapport), mais c'est oublier qu'il est plus facile pour quelqu'un touchant 3000€ de sortir 100€ de sa poche que 15€ pour quelqu'un touchant moins de 500 balles...
Qu'on ne s'y trompe pas, c'est très bien de faire des prix différenciés en fonction des revenus, mais si on souhaite rétablir un peu d'équilibre et de justice sociale tout en s'inquiétant de la situation "des gens", ce n'est pas une progression linéaire qu'il faut, mais plus de l'ordre de l'exponentiel : 5€ pour les personnes touchant moins de 500€ (ça fait 1%, comme la cotisation mensuelle de la plupart des syndicats), au moins 300€ pour une personne touchant plus de 3000€ (voir pourquoi pas un tarif de 10% directement pour ces revenus). Là, ça ressemble à quelque chose d'un peu plus populaire...
Cette grille de tarifs est étonnante pour un mouvement politique qui défend l'impôt progressif par ailleurs.
(non, je ne compte pas m'y rendre, j'ai vu quelqu'un soulever le problème sur un groupe FB)
OK. Ce jeu sort le 31 Août.
Mais dispo que sous Windows :'(
C'est passionnant. Il faut compter une petite demi-heure, mais si vous pensez que vous ne pouvez pas avoir confiance dans votre prochain... vous devriez réellement passer ces 30 minutes à jouer à cette simulation.
Faites moi confiance ;)
Un outils en ligne de commande pour créer du JSON. Ça peut être pratique pour l'interopérabilité entre plusieurs composants.
(vu sur Shaarlo)
Un outils pour déterminer la licence libre la plus adaptée à ce que vous voulez créer, que ce soit pour un logiciel ou une "œuvre de l'esprit".
(via je sais plus)
Il y a une question qui revient régulièrement et qui concerne un des symboles les plus répandus dans ce qu'on appelle "la gauche radicale et l'extrême gauche", tout particulièrement la gauche révolutionnaire, c'est celle du poing gauche levé. Que représente-t-il ? Pourquoi ?
Lorsqu'on voit le poing gauche levé, sur un drapeau ou dans une foule, il est souvent lié, inconsciemment ou non, à l'esprit de révolte, de colère, de solidarité.
Ce symbole trouve ses racines dans l'antifascisme, au début des années 30 ; il est en premier lieu une réaction au bras tendu fasciste. On retrouve sa première utilisation à la fin des années 20 (la plus vieille photo à ce jour date de 1924), au Parti Communiste Allemand, mais ce sont les manifestations liées au Front Populaire qui vont populariser le geste, en France puis en Espagne ‑ sans toutefois séduire les socialistes de ces pays. Tout en étant un symbole venant en "contrer" un autre, il n'est pas dénué de sens propre, et chaque chose à son importance.
Déjà, on lève le poing gauche, et non le droit : les fascistes lèvent le bras droit, c'est déjà un bon commencement pour vouloir lever le gauche, mais c'est surtout le bras du côté du cœur, symbole de l'amour, de l'ouverture, de la fraternité, de la solidarité.
On ferme le poing pour s'opposer à la main ouverte et tendue du salut fasciste, mais pas seulement : chaque doigt de la main est différent, pas un ne se ressemble, et chacun, pris individuellement, est fragile en soi. Pourtant, en les groupant, en les serrant, ils sont plus que la somme d'eux-même et deviennent un poing, fort, capable de lutter, et d'accomplir ce que les doigts seuls ne peuvent accomplir. Le groupe est plus que la somme de ses composantes et peut aller bien au delà de ce que les humains, individuellement, peuvent réaliser.
Ce symbole reste toutefois assez peu utilisé et se retrouve essentiellement lors de chants et autres rituels politiques de la gauche ; révolutionnaire, extrême ou radicale (toujours sans les socialistes donc). Pour un certain nombre, ce symbole, né à partir d'un autre, inspiré à partir de celui de l'ennemi, n'est pas "digne" d'être utilisé, pour d'autre il a un sens propre et son usage ne gêne pas. Dans tous les cas, la liberté est laissée aux personnes de lever le poing ou non, et ça c'est quand même vachement plus cool que d'être obligé de tendre le bras.
<3
Donc Mayer dénonce les suprémacistes blancs, Yohann Deniz (recordman du monde du 50 km marche) est au NPA, militant antifasciste, et PAB (Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde de 800 mètres) soutient la FI.
En effet, de bons athlètes :p
Ah tiens, je note, je note.
Je mange rarement dehors parce que j'ai horreur des guêpes. Et un peu peur d'elles aussi, oui, et de globalement tous les insectes volants qui peuvent surgir de n'importe où. Saloperies.
(via Sammy)
Intéressant. M'enfin je rajouterai quelques petites choses.
Déjà, la pédagogie dans l'IT c'est bien, mais le flegme et l'autorité c'est pas mal aussi. Face à des gens qui ne veulent pas comprendre, la pédagogie ne sert à rien. Dire "j'ai ça qui est plus prioritaire pour telle raison, tu passes après" et "point." ça facilite pas mal la tâche aussi. À ne pas utiliser en premier recours, évidemment, mais, comme je le disais, certaines personnes ne veulent pas comprendre, alors ça sert à rien de vouloir leur expliquer ; pour elles, la manière de présenter les choses c'est "c'est comme ça, point". À noter que l'attitude "je veux rien comprendre" n'est pas perpétuelle, il faut donc rester ouvert à la reprise de la pédagogie.
L'inconvénient de cette méthode est qu'il faut le soutien de sa hiérarchie, et ce n'est pas toujours le cas (loin de là).
Ensuite sur la délégation : attention à ne pas déléguer uniquement les tâches qui font chier. Ce sont les premières qu'on a tendance à déléguer, mais il ne faut pas oublier que si elles nous font chier, elles doivent sans doute faire chier les autres. Il faut apprendre à déléguer, certes, mais à déléguer aussi les tâches qu'on a envie de faire, et prendre sa part de "sale boulot". La corvée est toujours plus acceptable lorsqu'elle est répartie et pas sur les épaules d'une seule personne.
Ensuite, la priorisation, c'est bien. Mais attention à ne pas tout mettre en "P1" voire à s'inventer des "P0" ou "P-1" et à tout mettre dedans. Sinon, évidemment, ça ne sert à rien. Attention aussi à se laisser de la "bande passante" pour débloquer les autres rapidement.
Enfin, lorsqu'on vient vous voir pour un problème/une tâche, il y a une manière très simple de prioriser :
Bien évidemment, là encore, sans hiérarchie en accord avec ce mode de fonctionnement, il y a de grandes chances de passer pour le vilain petit canard. Perso je m'en balance un peu, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Et il ne faut pas non plus jouer avec les limites : l'accomplissement des tâches de manière à les faire dans le délai idéal pour la personne doit être le but ; et si tout le monde joue le jeu, on arrive assez vite à une machinerie qui tourne assez bien. À condition, toutefois, d'être assez nombreux pour accomplir le volume de travail à accomplir, ce qui n'est que trop rarement le cas (et qui semble être le cas de l'auteur).
(via Orangina Rouge)
"Faites attention à ce que vos enfants regardent sur Internet"
Oui, certes, mais ça va un peu au delà de ça en fait. L'eau bouillante, ça brûle, ça peut être très grave. Un enfant devrait savoir ça, non ?
C'est bien beau d'incriminer Youtube, mais il est techniquement impossible pour Youtube de vérifier le contenu de toutes les vidéos uploadées sur la plateforme et d'agir de manière à "protéger d'un risque". C'est non seulement techniquement impossible, mais c'est aussi éthiquement non souhaitable. Ce n'est pas là que se situe le problème, mais bien au niveau de l'éducation.
À partir du moment où un gamin sait faire bouillir de l'eau, il doit être au courant des dangers que ça implique, pour lui et pour les autres. Ça n'empêchera pas les accidents, évidemment, mais ça les réduit drastiquement.
Là ce sont des gamins impliqués, c'est tragique, mais il n'y a pas qu'eux qui le font, bien malheureusement. Et faut être incroyablement inconscient ou con pour faire ça. Peut-être.
Il y a une surenchère, non pas dans la stupidité, mais dans le sensationnel, qui est très clairement inquiétante. Le narcissisme induit par cette société individualiste pousse à ce genre de comportements, en promouvant comme exemple de notoriété ce genre de vidéos, sans aucun recul sur l'impact que cela peut avoir pour autrui. L'intérêt réside dans le nombre de vues que cela génèrera pour l'individu qui ira faire la "farce".
Plutôt que de pointer du doigt le symptôme et un opérateur impuissant dans les grandes largeurs, peut-être faudrait-il revenir à la source du problème. Pourquoi ces personnes ne pensent pas à ce que ça va faire à leur victime ?
Peut-être qu'une éducation qui remet au centre des préoccupations le groupe, le commun, l'impact de son attitude sur le reste du monde plutôt que l'idéologie libertarienne de l'individu tout puissant permettrait de mettre fin à ce genre d'attitudes dangereuses, plutôt que de dépenser de l'énergie, inutilement, à courir derrière le dernier truc à la mode en disant "attention c'est dangereux ne le faites pas" et avoir toujours un train de retard... et des mort⋅e⋅s d'avance.
(via Wolfy)
Cet outil est absolument génial.
Toutes les CVE/CPE/CWE à un seul endroit, filtrable, avec des alertes (bon, que du mail pour le moment, et quelle que soit la criticité).
Ça fait gagner un temps fou (surtout quand le vendeur d'un logiciel/matériel ne met pas à disposition un système d'alerte ""proactif"" genre RSS de base).
(via oros)
Hanouna et son armée personnelle de bons petits soldats écervelés...
"Horde" correspondrait peut-être mieux d'ailleurs.
Bref, une ordure à la tête d'une armée de cons.
(via Sammy)
Dommage qu'il n'y ait pas de coop en multijoueurs... ;)
Oh intéressant ça ! Comment sauvegarder un million de bases de données, tous les jours, avec un niveau de service acceptable ?
OVH y est confronté, et nous raconte comment ils s'y prennent. Je trouve ça super de partager ce genre d'expériences. Moi je peux pas :( mais je trouve ça super :)
(via sebsauvage)
"Derrière la vitrine de l’écologie, E. Druon fait complètement fi des problématiques sociales"
Et vomir encore un peu plus... Vous vous souvenez du film "Demain", ce film tant vanté, César du meilleur film documentaire, très optimiste, en mode "si tout le monde y met de la bonne volonté, on peut y arriver" et autres conneries qu'on voit circuler du genre "pour détruire le système, il faut créer un nouveau système sans lui"...
Et bien en creusant un peu, il s'avère que tout n'est pas vert, loin de là...
Donc je rappelle un peu les faits. On ne construit pas un système concurrent de celui actuel sans s'y confronter de manière frontale et violente. Le capitalisme a pour vocation de concerner l'ensemble des ressources disponibles. Toutes les ressources, car chaque ressource génère de la valeur.
Si vous construisez un "système" individuel à côté, totalement indépendant, vous pourrez vivre, en effet, mais uniquement si vous ne venez pas piétiner de trop sur ses platebandes. Si un capitaliste a besoin de votre terrain, il vous le prendra, s'il a besoin de main d'œuvre, il vous prendra.
Si vous résistez de trop, attendez vous à être confrontés aux premiers chiens de garde : la flicaille. Les ZAD à travers l'histoire sont un bon exemple de ce mécanisme.
Et si le "système" que vous construisez devient trop important et inspire bien trop la population, ce sera l'armée avec écrasement implacable : Commune de Paris, Guerre d'Algérie, etc.
Pour schématiser, il n'y a pas de solution pacifique pour la mort du capitalisme car le capitalisme utilisera la violence pour prendre ce qu'il veut, et que la non-violence qu'on nous vend (qui le vend, mh ?) sert uniquement à endormir les esprits : les mouvements "non-violents" ont réussi parce que d'autres mouvements, violents eux, prenaient l'ascendant sur la situation, et que l'histoire d'une défaite s'accepte bien mieux lorsqu'on dit qu'on a reculé devant les pacifiques.
Sauf que si c'était le cas, les hippies auraient tout gagné et on ne serait pas dans cette situation, et la Guerre d'Algérie, la Commune ou Mai 68 n'auraient rien changé.
C'est bien d'être optimiste, mais la naïveté n'amène qu'à des optimismes inutiles qui, paradoxalement, prétend lutter... sans lutter.
Je suis un grand optimiste par ailleurs : je suis sûr qu'à la fin on gagne.
Ah oui quand même... L'absurdité poussée dans ses retranchements.
Cette volonté de toute puissance des êtres humains, en appliquant des droits fantasques à la nature afin d'en tirer un bénéfice, n'a décidément pas de limites.
(via Keicho)
Article intéressant, qui rejoint, sur de nombreux points, ce que je dis par ailleurs (ce qui est sans doute pourquoi je le trouve intéressant du coup :p). Et ce sont des points qui s'appliquent à de nombreuses luttes par ailleurs.
Le véganisme est un combat idéologique, et ce n'est pas une insulte que de dire ça. Il s'agit d'un choix de société, et la seule question qui pourrait, légitimement, s'y opposer est : est-ce un choix de société viable, c'est à dire qui ne met pas en danger les êtres humains ou l'Humanité ? De toute évidence, oui, à quelques exceptions près (certaines maladies spécifiques et très rares, mais qui peuvent donc faire exception à la règle générale). Niveau reproduction, il est à noter que la question de l'absorption du zinc (empêché par les céréales, pour faire court) est un point à garder en tête, mais il n'est nullement un obstacle à un tel modèle de société (l'impact sur les capacités de reproduction est moindre que l'excès de graisses ou de sucre par exemple). Le zinc concerne aussi le système immunitaire, mais là encore, rien qui ne puisse être réglé avec une bonne éducation, et sans commune mesure avec d'autres éléments de notre société actuelle (la pollution atmosphérique au premier plan). En clair, sur le plan réellement scientifique, il n'y a rien qui, en l'état des connaissances actuelles, puisse empêcher un tel modèle de société ; juste des points sur lesquels faire attention, comme pour n'importe quel modèle de société. Pas besoin de pseudo-science et de conneries à base de "l'humain est herbivore". Et brûlez le "rapport Campbell" par pitié. Sérieux.
L'autre point c'est la culpabilisation des gens qui sont victimes d'oppressions, notamment les pauvres. Et par pauvre, j'entends "pauvre en argent et en temps". Garance l'explique très bien dans son article, donc je ne vais pas m'étendre sur le sujet, mais aller souffler dans les bronches de quelqu'un qui galère déjà tous les jours en venant lui expliquer comment vivre, du haut de ses propres privilèges, ça passe pas. Et c'est normal hein. Vouloir défendre la vie des animaux, c'est bien, mais il ne faut pas occulter la vie d'un autre animal qu'on a en face de nous : l'humain (ceci est un argument légèrement spéciste par ailleurs, mais j'assume).
Mais on voit de plus en plus d'articles et argumentaires d'une sorte de "véganisme matérialiste" très intéressants, vraiment bien construits. On en revient à ce que je disais au départ : il s'agit d'un choix de société, d'idéologies qui s'affrontent. Ce n'est pas mal, c'est même d'ailleurs assez sain à partir du moment où la démarche est honnête et méthodique. Beaucoup moins lorsqu'elle s'adonne uniquement à la passion des sentiments exaltés et exaltants. Bien évidemment, il y a toujours des moments où les sentiments prennent le pas sur la raison lorsqu'on milite (d'ailleurs, on ne militerait pas pour une cause si celle-ci nous laissait indifférent⋅e, c'est un peu le moteur de la démarche). Mais dans la démarche globale, dans la réflexion calme et analytique des choses, c'est une autre histoire.
Le Commonspoly, c'est comme le Monopoly, mais plutôt que de faire l'apologie du profit, le seul moyen de gagner, c'est que les joueurs coopèrent.
Et évidemment, vous pouvez imprimer le votre, les règles sont disponibles, ce jeu est... un bien commun ;)
Oooooh, Olitec ! On en avait un (le Speedcom V92 si je dis pas de connerie) !
Je connaissais pas du tout l'histoire tragique de l'entreprise. Triste.
(via sebsauvage)