Ça c'est secure !
(via Flouf)
La LICRA (association en théorie antiraciste), le "Printemps républicain" (association républicaniste identitaire, excroissance du PS en déroute) s'unissent à l'appel de la fachosphère pour faire interdire un colloque universitaire sur l'islamophobie. Si ça vous laisse un goût de vomi dans la bouche, c'est normal. Et si ça vous rappelle des souvenirs de trucs lus dans les livres d'Histoire, c'est normal aussi. L'ingérence des associations réactionnaires dans le travail universitaire n'a rien de neuf, il prend juste désormais des proportions assez inédites depuis plusieurs dizaines d'années.
Et, évidemment, Lyon 2 ayant la consistance politique d'une patate beaucoup trop cuite et la vocation politique d'une huitre, ils reculent. Cette université (prétendument "à gauche") n'arrive à suivre aucune ligne (5 présidences différentes depuis 10 ans, remarque, ça n'aide pas), et continue de s'aplatir devant Lyon 3, refuge de la droite dure qui, elle, tient sa ligne bien fièrement, aussi dégueulasse cette ligne soit-elle (Lyon 3 étant un peu le "repaire" des groupes fascistes qui fleurissent à Lyon). Quand ladite Université s'appelle "Jean Moulin", il y a de quoi rire jaune.
(via Riff)
"c'est pas pour rien que leur symbole est un âne, on dit «catalá burru» soit catalan = âne"
D'où les 20 000 pèlerins qui ont bravé les coups de matraque pour dire "non, nous on veut rester dans l'Espagne". je comprends mieux ^^
Attention, les séquences et photos de cet article peuvent être choquantes, on y voit, entre autres, du sang et des personnes inanimées. Le Figaro a un article "en direct" sur le sujet, moins éprouvant : http://www.lefigaro.fr/international/2017/10/02/01003-20171002LIVWWW00117-fusillade-las-vegas-en-direct-etats-unis-concert-attaque.php
Heureusement que l'autre ordure, désormais président de la première puissance mondiale, avait dit, au moment des attentats du Bataclan, que ça ne pouvait pas arriver aux USA grâce, en gros, au NRA. Ah ben la preuve hein.
Courage aux familles et aux victimes, on imagine malheureusement que trop bien l'horreur des moments d'après.
(mais ce n'est pas du terrorisme : le tireur est blanc)
(et dans ces instants choquants on se focalise souvent sur un détail insignifiant, incongru... dans la première vidéo moi c'est le mec qui marche tranquille, sa boisson à la main, debout, en s'éloignant pépère)
(via sebsauvage)
Vomir.
Et ce sont nos impôts qui payent des propos aussi immondes.
"En pleine réforme du Code du travail, ce numéro de Cash investigation a en tout cas atteint un record historique d’audience : plus de 3,8 millions de téléspectateurs ont suivi l’enquête."
Les salarié⋅e⋅s ne sont pas con⋅ne⋅s. Ils savent que l'ignoble montré dans ce reportage sera la réalité de demain pour elleux si ce n'est pas déjà le cas, généralisée et légale, grâce aux ordonnances Macron.
En Catalogne, les flics (en cagoule) saisissent les urnes. On rapporte de nombreuses violences policières, plus de 400 blessé⋅e⋅s durant la journée, la police qui ferme, de force et sans aucune base légale, des bureaux de vote, etc.
Ce n'est pas dans un pays qui n'a jamais connu la démocratie, d'un autre continent, ou à l'autre bout de l'Europe. C'est en Espagne. En ce moment.
(D'ailleurs, là, la police elle protège les citoyen⋅ne⋅s peut-être ? C'est pour leur bien, vraiment ? Et quelle est exactement la différence entre cette police et la police française au juste ? Mh ?)
"À Libération, par exemple, le débat a été tranché en faveur du comptage de la police, sur la foi d’un rapport concluant à « l’honnêteté des chiffres de la préfecture » comme le rappelle un récent éditorial."
"Devant ce nouveau chiffre « off » de la préfecture, la déontologie la plus élémentaire aurait requis de mentionner le caractère non officiel du comptage de la police, voire de s’interroger sur sa fiabilité et son objet. Mais décidément, le journalisme de préfecture a de beaux jours devant lui !"
Ils devraient vraiment changer le nom de ce journal d'ailleurs. "Collaboration", ça ment moins sur le contenu.
Bon, jusqu'à présent, l'orthographe inclusive des noms communs se passe bien ; tant que je suis sous Linux du moins, parce que le point médian sous Windows étant une tannée à trouver, je dois (les rares fois où je me retrouve sur cet OS que je peux décidément plus pifrer) utiliser le tiret, ce qui rend le tout moins joli, il faut avouer. Il y a encore quelques oublis, mais globalement ça tient la route et, surtout, a priori ça ne choque pas grand monde en définitive.
Maintenant, je vais essayer de passer à l'application de l'accord de proximité. C'est à dire que l'adjectif sera accordé au genre (mais pas au nombre) qui est le plus proche d'icelui.
Par exemple, avec cette règle, on n'écrira pas "les chevaux et la jument étaient parqués dans le pré" mais "les chevaux et la jument étaient parquées dans le pré". Même si ces équidés seraient mieux en liberté, mais ne chipotez pas.
Ce n'est pas gagné parce que autant modifier les noms communs pour être plus inclusif n'a pas réellement d'impact sur la structure de la phrase et, donc, des liens entre les mots, autant la règle de proximité modifie ce lien et demande donc une gymnastique mentale plus importante. La première tient presque de la "mémoire musculaire" par ailleurs.
Bref, à partir de maintenant, si vous voyez une "faute d'accord" ici, ce n'en est peut-être pas une ;)
Moi je l'utilise, mais juste pour pas qu'il se déverrouille dans ma poche par inadvertance donc bon :D
Mais c'est toujours bon à savoir.
La nana loupe sa correspondance aéroportée et reste ainsi coincée une nuit à l'aéroport. Du coup elle se met à danser, avec des gens de passage, des salarié⋅e⋅s, etc. plutôt que grogner toute la nuit.
Sympa ^^
Si même la CFE-CGC (qui, habituellement, signe tout ce qui traîne, même les prospectus dans leur boite aux lettres) appelle à la mobilisation générale, c'est que VRAIMENT ces ordonnances ne vont à PERSONNE et mettent tout le monde en péril.
(Allô, la CFDT ?)
Ni dieux, ni maîtres, ni héros.
Je me méfiais déjà du type (que je trouve d'une grande arrogance), mais là c'est bien acté.
Le 23 Septembre, c'est la journée internationale de la visibilité bisexuelle. Du coup je pose ça là parce que c'est pas mal fait ;)
(c'est aussi la marche pour la paix cette année)
Elle est morte, elle s'en servira pas. Et avec ce qu'on veut prendre il en restera largement assez pour toutes ces feignasses parasites qui vont hériter.
"Le fait qu’on puisse me confondre avec un journaliste n’est pas réjouissant pour l’état du journalisme aujourd’hui. Le fait que Christophe Barbier ait une carte de presse, non plus."
DEAD.