Coudifié pour minimiser l'espace de stockage.
Explication de pourquoi c'est bien : http://sebsauvage.net/links/?suE7rw
(via sebsauvage)
L'article est très intéressant, et il est vrai que le genre n'a pas beaucoup évolué.
Si les pirouettes narratives sont nombreuses pour essayer de combler ces défauts (un guerrier accompli qui a perdu la mémoire ou ses capacités pour justifier le fait qu'il les retrouve petit à petit, par exemple), ça ne suffit pas.
Il y a quelques bonnes initiatives tout de même, on sent que certains éditeurs cherchent à redéfinir le genre. Dans Shadow Of Mordor, par exemple, le fait de mourir est pris en compte dans le jeu : le lieutenant ennemi apprendra sur votre échec et sera plus difficile à battre à la prochaine rencontre si vous vous y prenez de la même façon, par exemple. L'échec apporte un vrai plus au jeu. De même, le fait de combattre un lieutenant ne crée pas une "instance" où seul l'ennemi que vous attaquez est présent : le monde continue d'évoluer autour et il est possible qu'une autre armée soit en approche pendant que vous combattez.
La gestion de la mort ou de la vieillesse pourrait être un vrai plus. On retrouvait vaguement cette dernière idée dans Fable. On la retrouve légèrement dans les Assassin's Creed II.1 II.2 (Brotherhood) et II.3 (Revelations). Dans le II.1, Ezio est tout jeune, pimpant, très agile... Dans Revelations, il est plus fatigué, plus lent, il a de vieilles blessures qui le font souffrir... Alors, il ne "décroît" pas vraiment, mais il y a cette idée.
Mais il y a clairement la place pour une refonte du genre. Et les pistes données dans l'article sont intéressantes.
Ahah excellent ! :D
Tous les ans, le 15 Novembre, des néonazis marchent dans les rues de Wunsiedel (une petite ville de Bavière où était enterré un des lieutenants d'Hitler, Rudolph Hess). Cette année, l'association EXIT-Deutschland, une association anti-nazie qui procure assistance et protection aux néonazis ne désirant plus l'être (http://www.exit-deutschland.de/) a organisé une opération.... intéressante.
Pour chaque mètre parcouru, 10€ étaient reversés à l'association. Des nazis défilant, in fine, contre eux-même, c'est beau :D
L'association a ainsi récolté 10 000€.
Comme quoi, il est toujours possible de transformer un événement sombre en bonne nouvelle :p
(via Alex)
1,4 milliards d'euros sur 20 ans de projet.
La guerre en Irak a coûté 3 000 milliards de dollars et n'est toujours pas finie. Si on veut comparer les trucs qui paraissent "inutiles", on peut jouer longtemps. Mais les plus gros budgets "inutiles" ne sont pas là où on croit.
Oh, et sans exploration spatiale, pas de GPS, par exemple, aussi. La recherche spatiale, avec son lot de défis techniques à relever, a des retombées dans des secteurs très divers. En aéronautique, par exemple, mais aussi en médecine (des remèdes contre l’ostéoporose expérimentaux sont produits dans l'espace car la chute libre permet une création facilité de certaines protéines), etc. Les filtres à air mis au point pour l'ISS, par exemple, permette par la suite de produire en série des filtres à air bien plus performants et résistants.
Et là ce ne sont que les exemples qui me viennent en tête. Les retombées dans la vie civile d'une telle recherche sont énormes. Le fait de pouvoir de mieux en mieux évoluer en environnement hostile (le plus hostile de tous) nous permet de mieux vivre dans notre environnement "maîtrisé".
Enfin bref...
Mh, il y a aussi un aspect propre à la propagande, qu'on retrouve d'ailleurs bien développé chez les confusionnistes et autres fafs.
Une info comme ça, une image comme ça, ça circule vite. Le démenti, l'analyse et l'argumentaire pour démonter le bordel, c'est long à mettre en place, et ça se diffuse beaucoup moins bien (car c'est une chose, pour quelqu'un qui a relayé la première info, de comprendre qu'il a eu tort, c'en est une autre bien plus complexe de l'avouer en diffusant le démenti).
Pour une info particulière, oui, ça peut paraître ridicule. Mais la propagande est un système, et Poutine inonde tous les médias sous son emprise (presque tous donc) de ce genre d'infos. De fait, la population se dit que "il doit bien y avoir un fond de vérité quand même, dans le tas". Demandez à n'importe quel russe s'il croit ce qu'il entend à la radio ou ce qu'il voit à la télé. Il vous dira "non, bien évidemment". Demandez lui son avis sur l'Europe et les USA : la plupart du temps, vous aurez la vision de Poutine qui vous sera servie, à quelques nuances près, histoire de dire que bon, il ou elle ne suit pas aveuglément.
Ça fait flipper hein ?
Pour flipper encore plus : il se passe exactement la même chose en France, en Europe et aux USA. Faites l'expérience par vous même.
Le but de la propagande n'est pas de faire gober une information particulière mais de mettre la population dans un état d'esprit propice à l'usage que veut en faire celui qui détient et organise la propagande. Pour ça, Poutine réussit particulièrement bien son coup (le fait qu'il soit passé proche de l'échec électoral la dernière fois doit beaucoup jouer dans sa volonté actuelle).
Bisous.
ET BIM ! :D
Ah ! Enfin ! On va pouvoir savoir quelles seraient "les vraies causes", une liste définie par "les gens qui savent" mais qui, surtout, ne font rien.
Vite, on a hâte ! :D
Mention spéciale à "tu remarqueras la performance d’énerver « tout le monde » avec des choses n’intéressant « personne »", j'ai déjà eu à sortir cet argument à un mec (qui me disait que ce que je disais n'intéressait personne et énervait tout le monde donc) ^^
(via Lila)
Racisme "décomplexé" au Décathlon de Ternes.
(via Maître Eolas)
Non mais au final, personne ne t'empêchera de les dire. Mais maintenant tu sais ce qu'ils sous-entendent. Tu peux très bien décider de ne pas t'en passer, mais du coup il ne faudra pas venir te plaindre si on relève le truc ;)
Quant à l'aspect phonétique... Les gros mots et injures évoluent avec la langue... Malandrin, renard, mécréant, etc. sont des insultes tout aussi puissantes à l'époque que celles d'aujourd'hui. La "musicalité" d'un mot est dépendant du contexte dans lequel il est prononcé. Et nous sommes ceux qui faisons le contexte.
Et oui, le problème des outils décentralisés, c'est de se trouver.
Merci pour l'annuaire du coup ^^
(comment on s'y rajoute si on veut mettre en plus une river ? :p)
Oui ! Les insultes véhiculent aussi des idées sexistes, racistes, homophobes, etc.
Pour ça que j'utilise principalement "raclure". "Fils de rien" aussi.
L'UPR, un autre parti de l'extrême-droite, mais avec des atours plus sexy que le FN.
(via Escales internautiques)
...
C'est pas faux.
L'ESA choisit la licence CC BY-SA pour la diffusion des photos prises par Philae :)
Ce devrait être la norme, les licences libres, dans le cadre de la recherche scientifique... Bien joué l'ESA :)
En fait, il s'agit un peu d'un problème d'égalité et de conception de l'héritage. Et ce n'est pas une mince affaire.
Un chef d'entreprise peut léguer son entreprise à ses enfants, un travailleur peut léguer ce qu'il a tiré de son travail à ses enfants (maison, voiture, etc.), bref, on lègue ce qu'on a créé ou acquis durant notre vie à nos enfants, et ça se cumule (y compris l'armoire de l'arrière-grand-mère que personne ne veut).
Ceci constitue en quelque sorte le "capital familial", et on peut revendre ce capital. Si cette conception de l'héritage est globalement inégalitaire, on y trouve cependant une certaine logique.
Dans le cadre d'un artiste, la question de ce qu'il advient de ses productions est un peu plus complexe. On ne nie pas le droit de l'artiste à faire ce qu'il désire de ses œuvres durant sa vie. Mais, contrairement à toute autre personne, il ne pourrait pas utiliser comme il le souhaite et léguer comme il le souhaite ses productions après sa mort. C'est une discrimination qui pose, de fait, beaucoup de questions.
Il faut réformer le droit d'auteur, oui, là je crois qu'on est, en gros, tous d'accord. Mais il faut faire attention à être juste, et ça c'est plus compliqué. Car passer de l'extrême vers lequel on tend (une propriété intellectuelle de presque un siècle après la mort de l'auteur) à un autre (la spoliation de la production d'une personne) n'est pas forcément la meilleure des solutions.
On pourrait tout d'abord laisser le choix à l'auteur, ce qui est aujourd'hui impossible. L'auteur pourrait très bien décider qu'après sa mort, ses œuvres passent dans le domaine public. Si non, rien n'empêche d'appliquer la même taxe pour les héritages classiques, à condition de bien vouloir imposer le marché de l'art, ce qui n'est pas fait aujourd'hui étant donné que le créateur de l'IGF (ancienne ISF), Laurent Fabius, est issu d'une famille de marchands d'art...
Cet héritage pourrait être soumis à une obligation, qui serait liée au caractère de bien commun de l'Art, qui permettrait de diffuser légalement et gratuitement l'œuvre, tout en conservant quelques droits : une redevance sur les impressions papier, par exemple, ou une réduction d'impôt pour mise à disposition des œuvres de l'auteur (droit qui ne pourrait être cédé à quiconque). Dans le monde numérique, on pourrait mettre en œuvre un système proche de la licence globale (qu'il faudrait donc mettre en place), mais liée aux hérités-ayant-droit des œuvres partagées et diffusées (ça peut être juste un pallier différent de la même licence, d'ailleurs, ce qui faciliterait énormément les choses).
Il y a plein de moyens de concilier accès à l'Art, droits d'auteur et héritage... Supprimer l'héritage pour tous est aussi un moyen ;)
Je vais en rajouter une couche tiens :
la "flat tax", c'est la TVA, l'impôt le plus inégalitaire qui soit. Asimov a donné un exemple de danger de ce processus de pensée "c'est beaucoup plus simple à faire" dans son roman "L'Aube de Fondation" (je crois que c'est celui la). En remplaçant le système d'impôts complexe de l'Empire par une "flat tax" en apparence beaucoup plus simple et facile à gérer (ça permet de supprimer des postes de fonctionnaires des impôts en plus, imagine !), cela a mis dans la merde financière toute une frange de la population, la plus pauvre, évidemment. Mettant ainsi fin à la junte militaire. La "flat tax", c'est de l'égalité qui donne à chacun une boite pour voir au dessus d'une palissade, quelle que soit sa taille.
le code du travail a déjà été "simplifié" sous Sarkozy. Il en ressort qu'on ne sait toujours pas quels sont les droits qui nous ont été enlevés comme ça. Mais par exemple, les dockers peuvent soulever 10 Kg de plus sans machine. C'est vrai que c'est une belle avancée hein....
La concurrence fait baisser les prix..... et les niveaux de service. C'est un fait. Si ouvrir un marché à la concurrence (ou "libérer la concurrence") fait que dans un premier temps il y a juste une baisse des prix, mécaniquement et en assez peu de temps, l'ensemble des acteurs va aussi baisser le niveau de service, puis augmenter les prix, ce qui fait que tu auras beau avoir plein de concurrents, globalement ton niveau de service sera merdique, pour un prix plus cher. À moins de la création d'un nouvel outsider de temps en temps, mais qui finira par rentrer dans le rang. La concurrence "libre et non faussée", c'est une farce, pas une solution.
Ces solutions, c'est creuser les inégalités, en effet. Parce que c'est ce que fait le libéralisme économique. Et que ces propositions ne sont que ça. Et Hashtable est en effet à tendance anarcho-capitaliste, donc un libéral pur et dur.
De la merde.
Et voilà, cette merde est promulguée.
Changez vos DNS !