Ah oui, une idée bien foutue en l'air :(
L'ARCEP veut mesurer la qualité et la neutralité des FAI. Très bonne initiative.
Plutôt que d'installer de proposer des boîtiers chez les internautes en faisant la demande, elle fait installer.... des robots. Dans les locaux des FAI, dans les 8 plus grandes villes françaises.....
Proposer un boîtier de mesure à brancher sur sa box, dont les plans sont connus et publiés (et pourquoi pas proposer aux internautes de le faire eux-même, ça n'a rien de compliqué !) avec l'installation d'un soft très basique et quasi-autonome, c'est pourtant pas plus compliqué et pas plus cher que cette solution.....
Dommage.
(via Tommy)
Je me suis fait la réflexion récemment.
Du coup j'essaye de plutôt utiliser "shaarliste", qui a le mérite d'être neutre (du coup, "égalitariste" qui défendez le "neutre", vous devriez logiquement utiliser "shaarliste").
Alda est un shaarliste. Sebsauvage est un shaarliste. Petit Panda Roux est une shaarliste. Et tout plein de monde, ce sont tous des shaarlistes.
Yo !
Ce message s'adresse aux femmes qui me lisent.
J'ai une copine qui organise une initiation à Donjons et Dragons (version 4) voulue "safe" (i.e. sans oppression, propos sexistes, racistes, etc. bref respectueuse), cool et détendue. Pas besoin de se déplacer puisque tout se passerait en ligne (avec voix cependant, donc il faut au moins un micro ^^).
Donc si vous êtes intéressée, "contactez la direction qui transmettra". :)
Pas encore dans la capitale je voulais surtout dire (même s'il y a de plus en plus de ratonnades).
Sinon, non, on ne reproduit pas les années 30. Du tout.
Bientôt en France, ne vous inquiétez pas... Ou peut-être que si et qu'il serait sérieusement temps de faire quelque chose...
L'appel au boycott n'est répréhensible en France que s'il y a discrimination. Ce n'est pas le cas ici.
Et il n'y a aucun appel au piratage : elle ne fait que penser qu'ils méritent une attaque, sous le coup d'une colère bien légitime, elle ne demande en aucun cas qu'il y en ait une.
Il n'est pas non plus dit qu'elle est à la fac ;) Et je ne donnerai aucune indication concernant une personne qui désire rester anonyme, vilain petit curieux :p
Si vous devez éviter un hôtel à Nancy, c'est celui-ci.
Témoignage d'une copine (qui a voulu rester anonyme) y ayant séjourné :
"Salut les copains !
[...] ils logent leurs clients dans un hôtel en travaux, qui nage dans les émanations de peinture, ce qui provoque des intoxications (j'ai vomi partout dans la rue). Mais aussi parce qu'il n'y a aucune sécurité et qu'on se fait cambrioler facile facile, tellement facile qu'il n'y a même pas effraction, les voleurs avaient la clef de la chambre. En attendant, je n'ai plus d'ordinateur (ni de portefeuille, ni de lunettes (!)), ce qui est fort embêtant. Par contre, beaucoup de séquelles émotionnelles. Je pense qu'ils méritent une attaque virtuelle (en plus du bon gros boycott de TOUTE l'université de Lorraine) (et de rembourser l'ordinateur) pour tout ça et aussi, voire surtout, parce qu'ils n'ont pas vraiment trouvé nécessaire de s'excuser quand on a parlé à la direction.
[...]"
Elle rappelle, à juste titre, que l'hôtel ne peut pas se dégager de toute responsabilité en cas de vol ou détérioration dans votre chambre, y compris si vous n'utilisez pas l'éventuel coffre-fort qu'ils mettent à disposition : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F2056.xhtml
"L'hôtelier doit indemniser son client en cas de vol ou de détérioration de ses bagages, de ses vêtements, de ses objets divers ou de son véhicule. Peu importe que les faits aient été commis par ses employés, d'autres clients ou des tiers allant et venant dans l'hôtel.
Toute clause du règlement intérieur de l'hôtel ou toute affiche dégageant la responsabilité de l'hôtelier dans de telles situations est nulle (sans valeur juridique)."
Bon, là pour le coup c'est une "résidence de tourisme", donc ça tombe peut-être pas sous le coup de cette loi, mais le coup des voleurs qui ont la clé, c'est au delà de la négligence, c'est de la complicité.
Cette page se partage très vite.
Mais j'ai un bémol (oh vraiment ?) :
"Your job — as students who are receiving an education — is to be aware of your privilege. And use this particular privilege called “education” to do your best to achieve great things, all the while advocating for those in the rows behind you."
À aucun moment, il ne propose de réfléchir à un système permettant à tout le monde d'atteindre la corbeille. Il faut juste penser un peu aux copains derrière, de temps en temps, pendant qu'on envoie facilement soi-même les boulettes dans la corbeille sans problème.
En dehors de cette conclusion qui exclue un peu toute remise en question et promeut le "avec un peu de bonne volonté (surtout ne changeons rien)", le côté éducatif et "check your privileges" reste intéressant et percutant.
Hop, une petite archive prête à l'emploi de ce sujet là : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?9OBNhQ
On décompresse l'archive, on ouvre index.html dans un navigateur, et tada !
(effectué avec WebHTTrack)
Je relaie.
Une petite copie de cet article à faire : http://gamerz0ne.fr/2014/02/21/activer-windows-et-office-2-2/
Ouais enfin...
"Les français largement favorables"...
S'ils l'étaient si largement et qu'ils réfléchissaient avant de voter, pas besoin de loi : ils ne voteraient pas pour un candidat condamné.
Quant à l'inéligibilité, elle existe déjà dans la loi française, en cas de corruption, de trafic d'influence, de prise illégale d'intérêts et de détournement de biens publics. Une loi ne changera pas le fait que cette mesure est assez peu prise : pour cela, il faut une volonté politique.
Mais la volonté politique ne se fera que si tous ces français de ce sondage ne votent EFFECTIVEMENT pas pour quelqu'un qui a été condamné. C'est bien beau de gueuler contre les élus et les politiques, mais c'est trop facile d'oublier qu'on nous laisse tout de même un petit peu de pouvoir dans tout ce bordel...
"C’est facile, une fois que tu as compris que la personne en face de toi en est une aussi. Qu’il suffit de lui demander. Qu’il suffit de l’écouter pour comprendre ce qu’elle te dit. Que s’il te dit non, ce n’est pas toi qu’il rejette dans ton entièreté. C’est juste non à ce qu’il voit de toi à ce moment-là, à ce que tu lui proposes.
Tomber amoureuse, ce n’est pas facile. Ça fait horriblement peur. Et si ça fait peur, c’est que c’est important. C’est pour ça qu’il faut y aller."
Une autre façon de voir et appréhender le sexe. Le désacraliser pour enfin le vivre, quelque part...
"Par cette nouvelle victoire, je suis heureux de montrer publiquement que lorsqu'on a la force de dire non, on peut forcer l'hydre administrative à marcher droit."
(je connais pas le site en lui-même)
(via Sammy)
Pour y avoir pas mal joué, j'approuve totalement.
Il y a énormément de techniques différentes, et l'univers est vraiment hostile :p
Mais les combats sont clairement épiques, même à assez faible niveau. J'ai eu la "chance" d'assister à un combat assez conséquent, très stressant mais très bon ^^
La vidéo est juste énorme et reflète bien cet univers particulier : on a vraiment l'impression d'appartenir à une flotte, où chaque élément est d'une importance capitale, et du coup on a tendance à parler comme ça naturellement.
Ne me tentez pas d'y rejouer ^^
Très bonne analogie.
Encore un bon billet du Pharmachien :p
Mh.
Ça fait plusieurs fois que je lis et relis ce billet, sans vraiment savoir quoi y répondre, quel commentaire irait bien.
Je ne suis pas d'accord sur certains points (le tirage au sort comme modèle démocratique, ou la défense de l'idée keynésienne) mais là n'est pas vraiment le propos.
Pour commencer, à moins d'être clairement profiteur de ce système inique, nous sommes tous en contradiction avec nos idéaux. Est-ce que je pourrais en faire une liste ? Pfiou, peine perdue ! Mais je suis contre le salariat et pourtant salarié, contre les grands propriétaires et pourtant je loue un appartement que je possède presque à quelqu'un d'autre, contre le système de crédit et j'en ai un sur le dos, etc.
Et chaque camarade, c'est pareil.
Le fait est qu'on a beau avoir des idéaux, on n'en est pas moins dans un système qui n'y correspond en rien. Et il faut bien vivre, justement, tout en se battant pour ses idées (et mourir pour elles, de mort lente ;)). Certaines personnes n'acceptent pas et décident de vivre selon leurs idéaux et, de fait, en marge. C'est un choix, et en définitive ils ont sans doute raison, mais c'est une décision extrêmement difficile à prendre. D'autant plus difficile quand on est un privilégié. D'autres préfèrent "descendre" de classe sociale dans cette société. D'autres encore feront d'autres choix pour se sentir en accord avec leurs idéaux.
Il y a plusieurs étapes dans la lutte pour nos idéaux. La constat/prise de conscience, tout d'abord, qui permet d'ouvrir les yeux sur nos propres actions, notre place au milieu de ce système globalisé d'oppression, où on arrête de répéter les arguments maintes fois entendus ("il y a plus urgent", "de toute façon il y en a qui le veulent bien", "c'est comme ça que ça marche", "l'ordre naturel", etc.). L'abattement, qui est décrit dans ce billet il me semble, où on se sent moins que rien pour faire autant de mal. La colère, où on en veut au système (dans lequel on est né) de nous avoir aveuglé et caché volontairement la portée de nos actions, de nous avoir poussé à la dépolitisation. Puis la lutte, enfin.
Si on est seul dans les premières étapes, il faut savoir que les personnes qui luttent sont, contrairement à ce qu'on veut nous faire croire, nombreuses. Et qu'en ces temps troublés, il y a besoin de soutien, de gens prêts à donner un coup de main. Même si c'est qu'une fois par mois. Même si, au jour le jour, ça ne consiste qu'à faire circuler les informations qui ne seront pas au JT.
Bien sûr, il faut aussi éviter les pièges, ceux qui mènent vers plus de haine sous des aspects très enjôleurs et sexy. Il y a certaines phrases qui peuvent aider à se faire une idée, qui doivent interpeller. "Ni de droite, ni de gauche", "c'est la faute de telle communauté/pays", "les assistés (en parlant des pauvres)", "certain⋅e⋅s sont content⋅e⋅s de leur sort", "c'est notre combat le plus important", etc. toutes ces phrases doivent faire tiquer. Liste non-exhaustive. Parce que c'est dans cette phase de doute qu'on est la meilleure proie pour les organisations in fine haineuses. Et si on n'a pas de bagage politique, on peut très vite se faire berner. Et alors il faudra recommencer. À constater ce qu'on fait, etc. Sauf que c'est encore plus dur la seconde fois.
Bon courage dans tous les cas.
Je ne suis pas sûr que ce soit un commentaire aussi efficace que je le voudrais. Mais c'est mon commentaire. ^^
"Dans ce texte écrit en 1977, Christine Delphy pointe du doigt un des obstacles majeurs à la lutte pour l’émancipation des femmes : non pas les machos, les brutes épaisses et tous les défenseurs affichés du patriarcat, mais certains hommes « féministes », qui affichent leur dévouement à la cause et sont suffisamment larges d’esprit pour reconnaître la légitimité de l’autonomie des collectifs féministes... mais à condition que, de manière autonome, ces collectifs choisissent de prêter une oreille attentive à leurs conseils et de leur réserver la place qu’ils méritent ! Aujourd’hui, ces « amis » sont toujours là, toujours prompts à prendre - et à garder - la parole pour expliquer aux féministes comment faire pour s’émanciper."