"Le jeu vidéo n'est qu'un secteur comme un autre, surtout un secteur où il y a peu de femmes"
52% des joueurs en France sont des joueuses. 45% aux USA. Voilà ton "peu de femmes".....
On continue dans le domaine écologique avec Reflets.
Quelques pistes intéressantes.
Bah ouais. C'est ça.
Le Monde est le journal de référence : il montre à quel point le système actuel cherche à nous broyer.
Vendre. Vendre. Vendre. Vendre. Vendre. Vendre. Vendre.
C'est vrai que c'est beau.
Hubble n'est plus maintenu (depuis l'arrêt des navettes spatiales) mais est toujours actif, et il le sera jusqu'à au moins 2018 où il sera remplacé par James Webb (JWST). C'est Ariane 5 qui se chargera de la mise en orbite.
Hubble devrait retomber sur Terre après 2020. Peut-être que ça donnera une nouvelle saison de Dead Like Me ? ^^
Niveau sécurité, on est tous dans la merde. Même si on fait "un peu beaucoup". Et voilà pourquoi.
(via Sammy)
Comme un peu partout dans la culture geek, l'exclusion et le sexisme sont de mise aussi sur 9gag. Et pas qu'un peu.
J'aime beaucoup l'argument "et si ça avait été l'inverse, est-ce que vous auriez dit que c'était du sexisme ?". Bah non. En fait, le problème c'est que c'est JAMAIS l'inverse, ou tellement peu. Alors que, normalement, dans une société égalitaire, ça serait du 50/50.
Le fait de discuter n'est pas forcément destiné à faire changer d'avis l'interlocuteur. Dans le cas d'une personne absolument convaincue et pas du tout prête à faire une quelconque démarche de changement, ça ne sert effectivement à rien.
Mais !
Débattre, se répondre, etc. et notamment par écrit, sert surtout à ceux qui lisent et qui n'ont pas d'avis tranché. Dans un débat public, par exemple, le but n'est pas de faire changer d'avis une personne qui est payée pour défendre une position/des intérêts. Le but est bien de convaincre les autres, qui lisent l'échange.
C'est là que Ploum a tort (encore une fois, mais bref ^^) : tout le monde ne campe pas sur ses positions. Il y a des éléments silencieux, qui ne participent pas et qui, pourtant, sont doués d'intelligence : les lecteurs. Et ils sont bien plus nombreux que les écrivains.
Or dans un débat, in fine, c'est d'eux qu'il s'agit de convaincre généralement. Donc le fait de ne pas vouloir changer d'opinion (le terme est d'ailleurs mal choisi) ne clôt pas le débat avant qu'il ait commencé : il lui donne, au contraire, un objectif.
De plus, débattre est un très bon exercice pour trouver des contre-arguments et pour affûter son esprit critique. Et ça,, même si on ne change pas de position, c'est quand même très appréciable.
Que Ploum ne veuille pas débattre, très bien, c'est son droit. Mais il se trompe en voyant uniquement, dans un échange d'idées sur le net, les seuls intervenants. C'est Internet, pas un repas de famille.
Et c'est d'ailleurs faux de dire qu'on ne change pas. C'est en se confrontant aux idées des autres, depuis ses propres positions, qu'on change. C'est un processus lent, mais absolument pas inutile.
La neutralité du Net, pourquoi elle est en danger et pourquoi elle est vitale, expliqué de manière humoristique en 13 minutes.
À voir absolument.
Ta gueule.
C'est quoi tous ces gens qui veulent s'immiscer dans la vie privée sérieux ? Fermez juste bien vos mouilles et occupez vous de vos culs.
C'est exactement ça.
(via Clo)
Comment se construit la propagande autour du nucléaire.
Perso, je ne suis pas anti-nucléaire, mais sous des conditions drastiques et à faible échelle. À mon sens, étant donné la dangerosité du nucléaire et l'impact de ses déchets, il y a un devoir de tendre à s'en passer.
Cela se fait sur deux axes majeurs pour un confort égal voire meilleur pour le citoyen :
Rien qu'avec ça, tu en as du taf ! Le problème de l'emploi ? Une rigolade !
Mais non, en face, il y a EGE et compagnie...
J'avoue être déçu par Larcenet sur ce coup.
Si la publication de ces dessins est sa propriété exclusive, il peut le faire en galerie, en exposition, etc. Internet n'est pas le bon endroit pour une telle démarche. Le droit de citation, de parodie et la culture du remix sont de mise ici.
S'il s'agissait de copie sauvage, sans travail derrière, dans l'unique but de l'appropriation, là OK. Mais dans ce cas, une meilleure réaction aurait été, comme le dit sebsauvage, de faire un "mur de la honte", en montrant du doigt celleux qui s'approprient son œuvre sans même citer son nom. Internet n'aime pas ça. Et s'il y a une culture du remix, il y a, aussi, une culture de la "primo-idée", où celleux qui se déclarent à l'origine d'une œuvre sans en être réellement l'auteur⋅e ont à subir les foudres des internautes et/ou l'oubli.
Internet est un bien commun. Des licences régissent ce bien, et le copyreich n'y est pas adapté.
Je cite : "C’est oublier que chaque image affichée ici est un bout de mon chemin. Je sais à quel point ça sonne romantique et tout, mais c’est pourtant, en ce qui me concerne, l’exacte vérité". S'il s'agit uniquement d'exhiber un chemin, ça peut se faire ailleurs et, là encore, Internet n'est pas adapté s'il n'y a aucune volonté de PARTAGE de ce chemin.
"Mes images, me sont précieuses. C’est du travail et de l’émotion" => parce que le retravail derrière à partir de ses œuvres n'est ni du travail, ni de l'émotion ?
Je veux dire, Larcenet est un dessinateur assez noir et mélancolique, et ses planches ont une certaine résonance pour moi. Si j'écris un texte illustré d'un bout de planche de Larcenet ou un de ses croquis qui éveille chez moi une émotion, que je partage dans mon article pour l'émotion qu'il me procure, de quel droit Larcenet nierait mes propres émotions au motif que ce sont les siennes qu'il aurait mis dans ce dessin ?
Si les œuvres de Larcenet ne sont qu'un exutoire pour lui, sa forme de thérapie, et qu'il va jusqu'à nier les émotions qu'il procure à ses lecteurs et lectrices, et donc qu'il les empêche de VIVRE ses œuvres, alors ces œuvres n'ont aucun intérêt. C'est le patient qui paye le psy, pas l'inverse.
Message à tous les sites proposant toute une ribambelle de trucs de réseaux sociaux mais aucun flux RSS/ATOM.
Voilà.
(via Timo)
En fait ça dépasse le simple "non". On définit cela par le terme de "harcèlement de rue" parce que ce n'est pas fait par une seule personne (à qui on peut dire non et qui doit s'y tenir) mais par plusieurs, tout au long de la journée, partout.
Il s'agit donc d'un problème environnemental (de l'environnement au sens large), sur lequel il faut donc agir globalement. C'est vrai que c'est très présent à Paris, mais ce n'est pas une particularité parisienne, loin s'en faut, et c'est partout qu'il faut être attentif.
Effectivement, tu es un mec, tout comme moi. On ne voit que le plus flagrant, c'est humain et on a été élevé dans ce monde. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a rien d'autre. Depuis que ce sujet a été abordé publiquement et frontalement, les témoignages de femmes ayant à subir quotidiennement ce harcèlement proviennent de PARTOUT. Ce n'est pas uniquement parisien, ce n'est pas uniquement français.
Et je suis sûr que des dijonnaises ont à le subir aussi : http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2012/08/18/harcelement-de-rue-les-dijonnaises-temoignent
Moralité : pour éviter le redécoupage de votre région, faites-en un sujet sensible ?
:D quand même pas, va pas te faire mal ^^
Mais c'est dommage d'avoir supprimé le lien du coup, ça fait un trou dans le fil :(
(surtout qu'une des phrases que je cite ne vient pas de toi mais du lien que tu as collé, du coup faudrait pas que ce soient des propos qui te soient attribués quoi) (même si j'ai modifié mon shaarlien du coup ^^)
À diffuser. Parce que c'est pas forcément facile à comprendre quand on baigne dans ce monde et que ça demande de collecter un maximum de points de vue pour réaliser à quel point c'est vraiment la merde et tout le chemin qu'il y a à parcourir.
Le gros cookie pour "le mec qui se sent concerné, bravo" c'est pas la "façon de faire dans les règles de l'art" (on ne donne pas de cookie pour une action normale, quand bien même serait-elle militante) mais bon, je pense que c'est plutôt de l'ordre du détail par rapport à ce qui est développé.
Je trouve que le fait de relever les erreurs (ou aveuglements) passées est une super démarche. "Il y a deux ans, j'ai dit de la merde, ici, et voilà pourquoi". C'est pas tout le monde qui peut faire ça, et en général ça pique (juste derrière la tête et dans le ventre, je vous le dis ^^).
C'est limite affolant de voir comment, à partir du moment où on relève et nomme un comportement sexiste jusque là "invisible", le nombre de personnes qui disent, politisées ou non, "ah mais moi aussi". Ça fait peur. Et ça doit cesser.
Un robot.
Qui court.
Plus vite qu'Usain Bolt.
"They're lethal at eight months, and I do mean lethal. I've hunted most things that can hunt you, but the way these things move..."