Mh.

Vous pouvez aussi opter pour bind9. Mais quitte à installer un résolveur DNS, pourquoi ne pas aussi le configurer pour prendre en charge DNSSEC (qui permet de protéger les données envoyées et de s'assurer que l'enregistrement qu'on obtient est bien celui qui est légitime) ?

Pour unbound, il faut faire un :

unbound-anchor -a "/var/lib/unbound/root.key"

(sous Debian du moins, à vérifier sous Ubuntu)

Pour Bind, c'est fourni avec les paquets. Si vous avez une version de Bind inférieur à 9.8 (si, c'est possible), suivre ces explications : https://www.howtoforge.com/configuring-dnssec-on-bind9-9.7.3-on-debian-squeeze-ubuntu-11.10

De plus, c'est bien de vérifier que sa propre machine tape bien sur le DNS local, mais vous devriez aussi vérifier qu'une machine extérieur ne peut pas taper dessus (et, croyez moi, vous ne le voulez vraiment pas, ça fait partie d'un réflexe à avoir lorsque vous installez un résolveur DNS). Pour unbound, c'est dans le fichier "unbound.conf", la valeur "interface" doit être "127.0.0.1". Vous pouvez ouvrir ce service à votre réseau local, par exemple, en mettant "interface: 0.0.0.0" couplé à une directive "access-control: 192.168.0.0/16 allow" (ou la plage d'IP de votre réseau local, au format CIDR, vous pouvez mettre plusieurs lignes de ce type).

Pour Bind, ça se trouve dans le fichier named.conf et c'est la directive "listen-on", qui peut comprendre plusieurs IP ou plages d'IP, séparées par des point-virgules, comme ceci :

listen-on { 127.0.0.1; 192.168.0.0/16; };

Maintenant, vous pouvez utiliser votre propre résolveur DNS en vous étant assuré que vous ne serez pas une gêne pour le réseau :)

Autres liens intéressants : http://www.bortzmeyer.org/son-propre-resolveur-dns.html

Désactivez Flash jusqu'à la prochaine mise à jour ?

Ou tout court, d'ailleurs.

Heu, alors... Mh.

C'est pas que je ne crois pas à l'existence d'une forme de vie extraterrestre hein, j'en suis même persuadé.

Mais peut-on m'expliquer quel équipement de Rosetta permet de "recueillir des échantillons de matière organique qui ressemblent à des particules virales" ? Je veux dire, COSIMA (http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Rosetta/COSIMA) est capable de donner la composition d'un échantillon et l'origine organique ou non, mais j'aimerai savoir ce qui permet de dire que c'est une "particule virale" ? Car c'est le seul équipement embarqué capable de faire un diagnostic organique/inorganique, mais sa précision n'est pas assez bonne pour aller plus loin que ça.

D'ailleurs, le Guardian, à l'origine de la rumeur, a publié un article démentant ce fait : http://www.theguardian.com/science/across-the-universe/2015/jul/06/no-alien-life-on-philae-comet

Je serais plus que ravi d'avoir la preuve scientifique de l'existence d'une vie extraterrestre. Mais pour cela il faut deux choses :

• une preuve
• scientifiquement recevable

N'allons pas trop vite en besogne. C'est trop important.

Combattre les préjugés. C'est beau.

Non, on n'attrape pas le virus du SIDA en touchant une personne séropositive. On peut même leur rouler une grosse pelle sans courir le moindre risque, les caresser, boire dans le même verre qu'eux, prendre un bain ensemble, sans risque.

Je serais curieux de voir ce que ça donnerait en France.

(via sebsauvage)

"Bravo ! Vous avez obtenu de meilleurs résultats que la majorité des autres participants. Vous n’avez pas remplacé votre tête par votre smartphone et vous savez que vos informations personnelles ont trop de valeur pour être uniquement confiées à un smartphone. Continuez comme ça !"

En même temps, déformation professionnelle : toujours prévoir le mode "dégradé" ^^

Blague à part, connaître l'essentiel des informations est extrêmement pratique dans le cadre d'un débat : pas le temps d'aller farfouiller sur Internet pour avoir la bonne réponse, surtout quand les premières sources (Wikipedia en tête) sont biaisées. Le travail de vérification et de recoupage prend trop de temps pour que ce soit utile dans le feu de l'action, c'est quelque chose qui se fait avant.

De même, l'essentiel des modes de fonctionnement d'un serveur, les commandes utiles, etc. doivent être connues, attendu que vous n'avez pas forcément Internet à portée de main.

Exercer sa mémoire, même imparfaitement, est une tâche quotidienne mais surtout volontaire. De plus, se dire "je l'ai mis sur mon téléphone" sans jamais faire la moindre sauvegarde, c'est s'exposer à une perte d'information que je considère, personnellement, comme inacceptable.

Et apprenez quelques numéros par cœur. Cela vous servira si, par exemple, vous vous retrouvez en garde-à-vue : vous ne disposerez pas de votre téléphone pour passer un coup de fil (ou de numéro de téléphone à donner à votre avocat pour qu'il puisse appeler des personnes qui peuvent vous venir en aide).

(via Raphæl)

Oui, forcément, tout n'est pas rose, mais le turnover n'est pas très élevé, en comparaison d'autres éditeurs.

En revanche, je me marre chaque fois qu'un collègue, qui a travaillé à l'assurance qualité d'un gros éditeur de jeux, me raconte comment ça se passait... Peut-être que je le raconterai à une AFK :p

"Bien entendu, la conscience de classe, c’est tout le contraire des mentalités « ma boite », « ma profession », « mon site », « mon secteur d’activité », « ma catégorie », « mon trust », « mon boulot », « mon pays », « ma région », « ma corporation », « mon groupe national, ethnique ou religieux », « mon genre », « mon appartenance », « mon syndicat », « mon clan », et bien sûr ma petite personne !!!

Cela signifie que l’on a conscience que les luttes sociales actuelles ne sont pas compatibles avec le soutien à des oppositions mensongères comme public/privé, titulaire/non titulaire, CDI/CDD, en fixe/précaire, salarié/chômeur, actif/retraité, homme/femme, banlieue/ non banlieue, français/étranger, avec ou sans papiers, jeune/vieux et on en passe…

La conscience de classe, c’est comprendre que les défaites et les victoires des travailleurs de tous secteurs, de toutes entreprises, de tous pays sont aussi nos victoires et nos défaites."

Article trèèèèès intéressant.

(et pourquoi Valve, c'est le bien :p)

"17.481/19.159 / 91,24 %"

C'est le nombre de bureaux de votes ayant transmis les résultats définitifs (il me semble).

À l'heure où j'écris, il y a donc 1,2 millions de voix qui séparent les 2 choix, les bulletins restants à dépouiller ne pourront pas combler l'écart même s'ils étaient tous pour le oui. Du coup, c'est bien plié : les grecs ont dit "non" à plus de 61%.

Peine thématique : noyer les agresseurs.

(via Sammy)