Sur ce sujet, je ne peux que conseiller, pour se rendre bien compte, l'excellent "Kerbal Space Program".
On réalise bien toutes ces problématiques de friction et de "heu, atta, comment je m'arrête là ?" ou encore :
"Bon, j'ai atterrit sur une planète super lointaine, parfait. Maintenant, comment je retourne sur Kerbal ?"
Et sinon, n'oubliez pas le flowchart de KSP : http://www.nothing-is-3d.com/dropCenter/uploads/jeux/KSP/flowchart.png
Ghostbusters 3 sera un reboot... avec un casting féminin.
"That's who I'm gonna call".
L'occasion de se refaire le clip, très kitch, de la chanson mythique : https://www.youtube.com/watch?v=Fe93CLbHjxQ
(via Karim)
Je sais pas trop quoi dire alors bon. Une sacrée tranche de vie de Jaddo.
Je ne suis jamais vraiment tenté de rajouter un ©... ^^
Différence entre ce qu'on nous explique et ce qu'il arrive réellement.
L'idée que les richesses se diffuseraient "naturellement" est fausse (http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?oBfHSw), elles ne font que ce concentrer de plus en plus.
Ah mais en fait il y a donc une épidémie d'Ebola qu'on ne va pas savoir gérer.... et la peste noire qui revient, par la Chine.
Cool ! Les survivants d'Ebola seront tués par la peste !
"Puissiez vous vivre à une époque intéressante"....
(via Petit Être Malfaisant)
edit : bon, l'article est un peu sensationnaliste et tout et tout....
Ah oui quand même...
Si les photos sont vraies, ça promet....
Mais grave ! Une semaine à 1400€ et tu repars avec TA propre guitare, que tu as faite TOI MÊME. C'était juste énorme.
Mh. J'en parlais ici : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?q82DIQ
Et pour le coup, je préfère largement Rudder (http://www.rudder-project.org/site/) à Ansible. L'interface est plus sympa, Rudder permet d'appliquer un ensemble de règles à un groupe de serveurs directement et CONTRÔLE LA CONFORMITÉ (et rollback sur la version certifiée en cas de changement).
Rudder intègre un gestionnaire de version de fichiers (git). Du coup, vous avez automatiquement un versionning des fichiers de conf que vous modifiez.
De plus, plutôt que de demander un accès root ou équivalent en SSH, Rudder fonctionne en mode client-serveur. Ce qui a l'inconvénient d'avoir à installer le client sur les serveurs mais le gros avantage de ne pas avoir à laisser un compte root configuré quelque part (perso c'est une architecture que je préfère).
Comme outil de sysadmin pragmatique et comme outil de gestion de conformité, Rudder se pose là.
Ce qui ne dispense pas de faire des sauvegardes.
J'ai un peu explosé de rire ^^
(via Sammy)
Ayé, c'est parti.
Sinon, on peut rire des oppresseurs, en fait.
HTTPS PARTOUT !
(faut que je m'occupe du certificat de mon site d'ailleurs, parce que j'ai accepté celui d'OVH mais ça doit pas être pratique pour vous)
Un grand luthier est mort cette semaine.
Pour avoir une idée de ce qu'il faisait : http://www.xavierpetit.com/
Les bons luthiers sont de plus en plus rares... Et encore un peu plus maintenant.
(via Alexis)
Hop, je m'en mêle, mais juste sur un point (qui est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup, tout ça tout ça)
"Avec toute la prudence de circonstance, je pense que le souci vient d'un a priori concernant les intentions des uns et des autres."
=> la question n'est pas DU TOUT sur les intentions de qui que ce soit. Lorsqu'on parle de racisme, de sexisme, bref d'oppression en général, on parle d'un SYSTEME d'oppression, d'une société structurellement construite sur la négation de certains. C'est toute la bataille contre la dépolitisation de la société, qui consiste, comme Alda le résume très bien, à faire d'une structure d'oppression une histoire d'individualités qui ne s'entendent pas. Et tu es en plein dedans, non ?
Tes intentions, franchement, je m'en balance. Ce qui compte, ce sont les actions, les mots, les interactions. Pas pour moi, qui suis un grand privilégié du système, mais pour ceux qui n'ont pas la chance d'être bien nés. C'est précisément ça qu'il faut changer. Parce que ce qui te paraît anodin a des implications bien plus vastes. Ta personne, on s'en contrecarre, tout comme on se contrecarre de ma personne, lorsqu'on parle de racisme/sexisme/whatever en tant que système.
Et il n'y a pas "les gentils" et "les salauds". Tu crois vraiment que quiconque se casserait le cul à te répondre si tu étais déjà catalogué et enfermé dans une boite ? Si on se fout totalement des personnes lorsqu'on analyse un système, les personnes sont au centre des préoccupations lorsqu'il s'agit de faire quelque chose. Parce que ce ne sont pas les anti-racistes/anti-sexistes/whatever convaincus et militants qui feront seuls le travail. Et donc ça passe par le fait de faire COMPRENDRE aux autres le problème, de faire COMPRENDRE qu'on est pas là à pinailler sur des personnes, de faire COMPRENDRE comment tout ça marche et s'imbrique, de faire COMPRENDRE pourquoi quand tu dis que "je suis pas sexiste mais c'est vrai qu'une nana ça ne sait pas conduire" tu fais perdurer ce sexisme.
Il ne s'agit pas de convertir qui que ce soit à ce qui serait une nouvelle religion. Parce que ça, sans déconner, ça serait extrêmement facile : c'est du John Gray, par exemple, qui fait salle plus comble qu'une messe de Noël. Et ça serait d'autant plus facile que c'est le chemin que vous suivez déjà. Peut-être qu'une vraie remise en question en s'intéressant réellement aux arguments et au sujet arrangerait les choses.
Parce qu'après tout, il y a tellement de courants féministes ("tellement que ça en devient inaudible") qu'il doit bien y en avoir un qui te correspond.
(pro-tip : "l'égalitarisme" n'est pas un courant féministe) (ce n'est même pas une pensée construite ni concrète, c'est une échappatoire pseudo-humaniste)
Edit : je vais réagir aussi sur le "victoire du rien ne change" : c'est grâce à des mouvements que tu accuses de mener au "rien ne change" que les choses ont changé depuis la formation des premiers mouvements féministes. L'Histoire (une fois n'est pas coutume) te donne tort.
C'est Desproges qui a dit ça. Et la citation est mal utilisée en l'espèce (voir sur ce sujet ma réponse à Ploum il y a un moment : http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?wE47nw)
Je recopie le passage concerné :
"La citation complète du "avec tout le monde" est la suivante :
"Deuxième question : peut-on rire avec tout le monde ?
C’est dur… Personnellement, il m’arrive de renâcler à l’idée d’inciter mes zygomatiques à la tétanisation crispée. C’est quelquefois au-dessus de mes forces, dans certains environnements humains : la compagnie d’un stalinien pratiquant me met rarement en joie. Près d’un terroriste hystérique, je pouffe à peine, et la présence à mes côtés, d’un militant d’extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, mesdames et messieurs les jurés, de vous imposer quotidiennement la présence inopportune au-dessus de la robe austère de la justice sous laquelle je ne vous raconte pas."
Et ce "avec tout le monde" est important car il pose la question, fondamentale, de savoir d'où l'humoriste parle. Si Perre Desproges n'a pas été inquiété plus que ça durant sa carrière, c'est parce que tout le monde savait, sans ambiguïté possible, d'où il parlait. De même que Coluche et tous les humoristes regrettés par tant de personne aujourd'hui. Desproges ne voulait pas rire avec des fachos. Il riait d'eux.
On savait d'où Desproges et Coluche parlaient, donc on sait ce qu'ils veulent dire, de qui ils veulent se moquer. Ils sont anti-racistes, anti-fascistes, anti-staliniens, humanistes.
Il est faux de dire que "aujourd'hui Desproges ou Coluche ne pourraient plus faire leurs sketchs". Le seul problème, c'est qu'aujourd'hui on n'est pas sûr d'où parlent certains humoristes. De fait, leur humour, qui est une arme d'oppression, je le rappelle (http://www.egalitariste.net/2013/04/21/lhumour-est-une-arme/ ) est à manipuler avec la plus grande précaution, ce qu'ils ne font pas. Parce qu'ils ne comprennent pas le "on ne peut pas rire avec tout le monde".
AVEC tout le monde. Ce mot est important. Il n'est pas question de rire ou non DE quelqu'un, mais AVEC quelqu'un. C'est à dire de se poser la question de si la personne à côté de soi, qui rit de la même chose qui nous fait rire, est quelqu'un AVEC qui on veut rire.
Se poser la question d'AVEC qui on rit n'est pas de la bien-pensance, c'est de la pensée tout court, la plus fondamentale d'entre-elle :
est-ce que la personne avec qui je ris n'utilise pas cet humour comme d'une arme ?
Cette simple phrase "on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde" pose l'élément essentielle de la pensée et critique politique (au sens large) au sein de l'humour."