"Je préférais prendre le temps de causer avec les gars, comprendre ce qu’ils voulaient, qui ils étaient, ce qui les faisaient fantasmer, tenter de répondre à leurs désirs, histoire de faire prolonger le plaisir, surtout avec les gros cons. Plus ils se comportaient comme des mufles, plus ils étaient grossiers, goujats ou mal élevés, plus je prenais plaisir à les garder connectés avec moi, histoire de faire grimper leur facture, mais également de résister à l’image qu’ils se faisaient des femmes. Ce doit être mon côté cyber-féministe…"