Intéressant ça... Faudrait que je teste.
(via taziden)
Des scènes de films ou séries cultes, avec et sans trucage...
J'imaginais le coussin dragon plus intéressant, je suis déçu :(
OH PÉTAIN LA VACHE !!! Ô_Ô
C'est génial ! Énorme !
...
...
That still only counts as one.
:D
"La libre expression existe toujours. En dehors de l’espace commercial, c’est permis" => vous pouvez vous exprimer, mais pas interpeller des gens. #TraduisonsLes
"«Quand j’étais dans l’opposition, j’ai aussi eu des pressions de la majorité quand je tractais sur le marché. C’est dur de me le reprocher après »" => des pressions ? Donc un arrêté qui punit d'une amende est une simple "pression". Bah voyons. Bouffonne.
Merci @BFMTV de nous informer aussi bien !
Ou pas hein.
Bouffons.
BFMTV, c'est Fox News.
Oh, je me mets ça de côté tiens.
J'ai un GROS problème pour les voyages, j'anticipe trop de trucs. Du coup, la moitié de mon sac ne me sert pas ^^ (c'est marqué dans la rubrique "le fléau" :p)
Merci pour ce témoignage. Clairement, ne pas être attendu par le client doit beaucoup aider (ne serait-ce que parce que du coup tu peux te passer plus facilement des deadlines).
Mais ça doit tout de même fonctionner, une fois que le client est informé (et satisfait, c'est là que tout se joue au final).
C'est une équation complexe, mais il faut oser. Parce qu'au final, on n'a pas le choix si on se soucie de l'humain en fait.
Ou pas.
Alors, bon, on va pas demander à cette sous-merde de raclure de connaître la géographie d'un pays étranger hein, donc admettons qu'il ne sache pas que Molenbeek, c'est Bruxelles, bon.
Mais quand même, ne pas savoir que le Stade de France est à Saint-Denis... Môôôsieur le Fronçay, quand même...
Je pose ça là.
Les copains/copines qui bossent en SSII en particulier, y en a-t-il un⋅e seul⋅e qui n'ait pas entendu cette "blague" un jour ?
Cet anti-syndicalisme primaire pue de plus en plus...
"Je suis Charlie"
"Je suis Paris"
"Je suis Bruxelles"
Le jour où il y aura un attentat à cet endroit, là on rigolera bien !
L'horreur ne doit pas nous empêcher de regarder aussi la terrible violence de cet état répressif, policier, meurtrier, qui met tout en œuvre pour faire couler le sang de ceux qu'il est censé protéger.
Merde merde merde merde merde merde merde.
Je pose ça là hein, des fois que.
(via Phiip)
Ils ne comprennent décidément rien, n'est-ce pas ?
Surtout le Figaro...
On ne veut pas de pubs, et l'information doit être accessible. Démerdez-vous, battez-vous, je sais pas... Revenez aux fondements de ce que proposait le CNR pour inventer une solution pour aujourd'hui ?
De même que certains défendent la licence globale pour la musique ou le cinéma, ne peut-on pas imaginer une licence d'accès global aux sites d'information ? Vous savez, un truc bien pensé, en collaboration avec la CNIL, libre, et qui compterait sérieusement et indéniablement les visites/visiteurs, où on collecterait via les impôts un montant global d''accès et qui serait réparti selon le nombre de visiteurs desdits sites ?
Un truc de ouf quoi. En plus d'amorcer une réflexion sur la réelle séparation des médias d'information et des pouvoirs financiers, hein.
J'ai vu passer un lien, et ça m'a fait repenser à ça. Du coup je vous partage hein :p
Voilà. Ça marche pour les "sciences dures" au moins.
Par contre, ça ne change rien en histoire-géographie ou en français, il faudra creuser pourquoi.
Perso, je suis pour la suppression des notes. Pour l'anecdote personnelle, j'ai eu "la révélation" lorsqu'un prof m'a dit "si tu t'en fous d'avoir une mauvaise note, je ne peux rien pour toi", et que la première réponse dans ma tête a été "bah, si, m'apprendre des trucs". Je crois que c'est à partir de ce moment là où j'ai arrêté d'être "bon" pour n'être qu'un élève moyen "qui gâche son potentiel" (je faisais les contrôles pour avoir la moyenne, sauf dans les matières qui m'intéressaient, et voilà) mais qui voulait apprendre des choses (et qui le faisait).
Le meilleur moment ayant été lorsque je suis passé dans l'enseignement supérieur.
Les notes (d'autant plus les notes individuelles) perpétuent les dominations de classes. Si on veut faire avancer la société, il faut commencer à penser ensemble, et ça se passe dès l'école. La suppression des notes est une bonne chose, mais elle ne remet pas en cause les fondements mêmes de l'éducation nationale héritée de Condorcet : l'individualité.
Il faut arrêter de faire en sorte que "les meilleurs élèves" (i.e. les enfants de familles riches) s'élèvent "à leur rythme" mais que, au contraire, ils participent à l'avancée du groupe dans son ensemble. La classification des individus (selon les notes ou selon des "micro-compétences") prépare à la classification des futurs adultes et citoyens dans notre société. En cela, le rôle de l'école n'est pas de satisfaire les désidératas des parents (qui sont libres de faire ce qu'ils veulent au foyer) mais de former les futurs citoyens.
Toute personne qui trouve ce monde trop individualiste devrait se poser la question de la formation de nos enfants à cet individualisme à l'école. Introduire quelques activités collectives (pour les corvées ou le sport ; et même dans un sport collectif, ils sont notés individuellement) ne permet pas d'introduire une conscience globale et de groupe prégnante. Aucun élève n'est aujourd'hui fier que sa classe "avance bien" ou n'est poussé à aider pour que "sa classe s'en sorte mieux". Si on ne forme pas les enfants à ces réflexes, comment espérer qu'ils puissent, une fois adultes, les avoir pour l'ensemble de la société ?
Et le rôle des parents là dedans ? Moindre, dirais-je. Vous aurez beau inculquer des valeurs de partage, de conscience collective, l'école est l'institution de la société, c'est l'image de ce que demande la société à l'enfant ; c'est ainsi qu'on demande à l'enfant de se conduire en société. Et du coup, il trouvera l'individualisme normal ; tout en étant peut-être altruiste dans sa vie, mais il remettra difficilement cette norme en cause.
Il faut repenser l'école, fondamentalement ; la révolutionner. Car c'est là que se joue une partie essentielle de la révolution de notre société.
La stratégie de Captain Train est cohérente, même si elle a de quoi faire peur, à raison.
On retrouve là un discours largement entendu un peu partout, mais qui est rarement mis en application : les racheteurs financiers ont tendance à couler leurs rachats dès qu'ils ne remplissent plus les conditions de rendement.
Trainline est en partie possédé par KKR, Voyages-SNCF est en partie possédé par Expedia (en dehors de la partie billet ferroviaire pure)... Que des fonds qui pratiquent "l'optimisation fiscale", et qui demandent des taux de rendement affolants.
Bientôt donc, pour voyager, ça sera en peste ou en choléra.
Est-ce qu'un programme peut être raciste et/ou sexiste ?
(spoilers : oui !)
Ça me rappelle le biais racial de la photographie couleur (dont je parlais ici : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?EVkTtw). La technologie n'est PAS neutre. C'est pour cela qu'elle va de paire avec l'éthique.