Ouais.
Alors, déjà, qu'est-ce qu'on est bien quand on est seul. Sans déconner, les moments à soi, il n'y a rien de tel. Je ne dis pas que c'est génial tout le temps, mais putain ce que ça fait du bien.
L'ennui et l'oisiveté sont les moments où j'ai le plus d'idées, où je laisse mon cerveau faire des liens qu'il ne pouvait pas faire avant (quand on a un objectif, on se concentre dessus et on ne prends pas de temps à considérer tout le reste). C'est aussi quand je m'ennuie (ou que je n'ai pas de motivation pour les projets en cours) que je pense à de nouvelles choses.
Cette injonction au networking, au relationnel perpétuel est une connerie à plus d'un titre. Et d'un chiant incommensurable. Sans parler de la vacuité, qui mine l'intérêt.
Allez vous faire foutre avec votre management, vos indicateurs de "performance objective" et autres saloperies destinées aux machines. Je suis humain, connard.
(via heu...)