""C'est un produit de luxe, comme le vrai coca" : de cette phrase, "Le Parisien" a choisi de faire un intertitre. Choix compréhensible, tellement compréhensible, et qui trahit, sans qu'il soit besoin de commentaire, l'infranchissable fossé entre ceux qui parlent ici, et ceux qui recueillent cette parole."
J'aime beaucoup une phrase du début : "Trois jours plus tard, certains journalistes se souvenant qu'ils sont journalistes, prennent le temps de réfléchir au phénomène". Il aurait été de bon ton qu'iels le fassent avant. Mais bon, je suppose qu'il faut déjà se réjouir qu'iels le fassent tout court ?